Voici quelques impressions des paysages de printemps de la Unterhaardt que j’ai prises en photo pendant le mois de mars et d’avril 2023. Anbei ein paar photographische Impressionen der Frühlingslandschaften der Unterhaardt, die ich im März und April 2023 anfertigte.
Wie schon in den Jahren zuvor (2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022) folgt hier eine kurze Notiz über das phänologische Frühjahrsgeschehen in Grünstadt, der Unterhaardt und dem Leiningerland. Den ersten blühenden Mandelbaum dieses Jahres entdeckte ich in Grünstadt in der Tiefenthalerstrasse am Sonntag den 15.01.2023[1]. Wobei sich dieser Mandelbaum sich mehr oder weniger einer permanenten Vorblüte befand und befindet, dh. es befinden sich nur vereinzelte Blüten am Baum. Die richtige Mandelvollblüte hat wohl bei besonders geschützten Bäumen am vergangenen Wochenende begonnen. Hier und da kann man auch in besonders geschützten Gärten auch schon erste Osterglocken blühen sehen. Blühende Iris danfordiae sind mir in Grünstädter Gärten auch schon begegnet. Der Vorfrühling ist in der Unterhaardt nun schon angekommen, da weisen auch die vielen blühenden Schneeglöckchen in Gärten, Parks hin. Der Frühlings wird also also bald seinen Einzug halten und dann werden auch die restlichen Mandelbäumen an der Weinstrasse mit ihrer Blüte beginnen.
Comme déjà dans les années (2015, 2016, 2017, 2018 , 2019, 2020, 2021, 2022 ) voici quelques observations phénologiques sur le début du printemps à Grünstadt, la Unterhaardt et le Leiningerland. J’ai découvert le premier amandier en fleurs de cette année à Grünstadt, dans la Tiefenthalerstrasse, le dimanche 15 janvier 2023[2]. Bien que cet amandier se soit trouvé et se trouve encore plus ou moins en préfloraison permanente, c’est-à-dire qu’il n’y a que quelques fleurs isolées sur l’arbre. La véritable floraison des amandiers a probablement commencé le week-end dernier sur les arbres particulièrement protégés. Ici et là, on peut aussi voir les premières narcisses jaunes fleurir dans des jardins particulièrement protégés. J’ai aussi déjà rencontré des Iris danfordiae en fleurs dans des jardins de Grünstadt. Le début du printemps est déjà arrivé dans la Unterhaardt, comme l’indiquent les nombreux perce-neige en fleurs dans les jardins et les parcs. Le printemps va donc bientôt faire son entrée et les autres amandiers de la Weinstrasse commenceront également à fleurir.
Nach vielen Jahren mal wieder ein auf Deutsch verfasster Rückblick auf das Paysagesblog. Den letzten auf Deutsch geschriebenen Rückblick verfasste ich Februar 2018, es war die Rückschau auf das Paysagesblog im Jahr 2017. Nachdem die Unterhaarder Rundschau für Grünstadt und Umgebung am Donnerstag den 14.01.2022 unter dem Namen „Nicht die klassische Auswahl – Was Leser der Unterhaardter Rundschau im Jahr 2022 online besonders interessiert hat[1]“ die Titel der Artikel veröffentlichte die in Grünstader Lokalausgabe am häufigsten gelesen oder zumindest angeklickt wurde, folgt hier nun eine verkürzte Übertragung des Beitrag „L’année 2022 sur le blog paysages – une rétrospective“ aus dem Französischen ins Deutsche. Wie in der zweiten Tabelle des Französischen Originals zu sehen ist, kommen die meisten Leser des paysagesblog aus Deutschland, – aber wie aus der Tabelle 1 zu erkennen ist – waren es dennoch in der Regel französischsprachige Beiträge die 2022 gelesen bzw. zumindest angeklickt wurden. Wobei das ja im Zeitalter von DeepL und Googletranslate auch kein Problem sein sollte. Nach meiner Erfahrung sind die Übersetzungen von DeepL doch recht brauchbar.
[3] Arbeitstitel des Buchkapitels „Der Schramm, der Bahnhof und der Krieg – Kindheitserinnerungen an Tischgespräche in der Karlstraße in Saulgau“ (siehe auch hier).
L’article le plus consulté en 2022 fut l’article « Encore une déception avec le Monde – La suppression du format PDF du journal numérique du Monde» (8,50 % des consultations sur paysages en 2022, première position en 2021). Un billet sur encore énième déception que j’ai subi comme abonné du Monde. Article qui semble être un des rares « sources » disponibles et gratuites sur la disparation du format PDF du journal numérique du Monde, – qui est donc beaucoup sollicite, lu par les lecteurs de « paysages ».
En quatrième position l’article « Beginn des Hochsommers im Leiniger Land/ Début du plein été dans le Leininger Land » (2,05 % des consultations sur paysages en 2022, 29ième place en 2021). Article (bilingue allemand/français) datant de juillet 2021 décrivent le début du plein été dans le Leininger Land et la Unterhaardt, ses champs de Lavande, le début des moissons etc.
En sixième position on trouve le billet « Blognotiz 13.03.2022: Erinnerungen an eine Bahnreise nach Saulgau im März 2010 » (1,85 % des consultations sur paysages en 2022). Ce billet écrit en allemand retrace le souvenir d’un voyage en train à Saulgau en mars 2010. C’est aussi le récit sur l’écriture d’un chapitre de livre destinée à un ouvrage sur la fin de la deuxième guerre mondiale a Bad Saulgau.
Dans le tableau suivant on retrouve l’origine géographique d’une majeure partie des lecteurs de paysages.
Pays
%
1
Allemagne
48,66
2
France
21,12
3
USA
20,48
4
Suisse
1,01
5
Canada
0,80
6
Portugal
0,69
7
Belgique
0,64
8
Espagne
0,54
9
Chine
0,51
10
Tunisie
0,42
total
94,87
Provenances géographiques des lecteurs du blog paysages en 2021
Donc beaucoup de changements par rapport en 2021. La saison des feux de forêts de l’été 2022 a laissé ses traces dans paysages. Même en Allemagne nous étions confrontés à des incendies de forêts. J’ai donnée quelques interviews dans presse écrite allemande et dans un journal de la télévision régionale publique (Südwestfernsehen) sur le changement climatique et les incendies de forêts[2]. Et j’ai plaidé pour que l’Allemagne acheté enfin des « Canadairs »[3] ! Et finalement j’ai aussi donnée une petite présentation orale sur les feux de forêts en Allemagne/Europe centrale durant une petite conférence international/webinaire internationale sur les incendies de forêts en Europe[4].
Et j’ai fait un beau voyage professionnel en 2022 – j’ai participé à la FLORAMAC2022 à San Sebastian de la Gomera[5], – ou j’ai entre autre présenté les résultats de mes recherches géobotanique aux Acores. J’ai déposé les transparent de ma présentation orale « “Overview of more than twenty years of my geobotanical & geographical field research on Faial (Azores) – history, results and outlook” dans KITopen, et peut être j’écrirai une publication scientifique sur la bases de transparents et de mes résultats de mes travaux de terrain sur l’ile de Faial. Le voyage, l’excursion géobotanique à Valle Gran Rey, les congres géobotanique – m’ont très impressionnée – et je voulais aussi écrire un récit de mon séjour à la Gomera pour paysages, mais par manque de temps je ne l’ai pas encore fait.
[5] C’est de San Sebastian de la Gomera, que Christophe Colombo entamait la traversée de l’Atlantique le 6 Septembre 1492, – pour son voyage destines à l’inde qui finalement l’amena l’archipel américain des Caraïbes
C’était dernièrement, – jeudi douze Mai déjeuner de travail aux « badische Weinstuben im botanischen Garten Karlsruhe », – avec des collègues de Oregon State University. Très beau cadre au milieu du Jardin botanique de Karlsruhe (en allemand, Botanischer Garten Karlsruhe). Très belles collections d’arbres exotiques, – et en discutant sur les divers arbres de cette collection – je racontais aux collègues américains que dans mon jardin à Grünstadt il y avait des palmiers en plein terre, – dont certains portait cette année leurs premières inflorescences, une petite collection de plantes méditerranées dont plusieurs Arbousiers[1] – et trois « Yuzus ». Un des collègues américain, – me répliquait que c’était intéressant, – marié à une japonaise- ils avait nommé leur fille « Yuzu » – et me demandait comment j’avais découvert le « Yuzu », car aux Etats-Unis les « Yuzus » étaient quasiment inconnues !
Et donc je me mis à raconter l’histoire des « Yuzu » dans mon jardin à Grünstadt, en ajoutant qu’en Allemagne, les « Yuzus » sont quasiment inconnues, mais en France, il y a des petites cultures commerciales, destinées à la « haute gastronomie ».
Il y a à peu près dix-huit ans, après ma « Verbeamtung comme akademischer Rat» j’avais surpris le Professeur Meurer – en disant que, – si je gagnai une fois une grande somme aux Lotto, – je quitterais le système universitaire allemand, – et deviendrais « Privatgelehrter (Chercheur indépendant)» et je me mettrais à collectionner et cultiver les agrumes, – peut être dans le midi français dans le pays leucatois, dans les environs de Leucate, – ou peut être sur l’ile de Faial à Capelo[2] – et naturellement continuer mes recherches geóbotaniques[3].
A mes débuts au KIT, la dérive du système universitaire allemand, vers un système « hyper concurrentielle », avec une productivité énorme, mais aussi une précarisation systématique de doctorants et post-docs, j’avais déjà commencé, – avec le « Wissenschaftszeitvertragsgesetz » – et depuis les conditions de travail pour les jeunes chercheurs se sont considérablement détériorée[4]. Les initiatives comme dernièrement #IchBinHanna n’ont jusqu’à présent pas changé grand-chose aux dérives de ce système hyper productive. Personnellement, j’avais eu beaucoup de chance, d’avoir réussi d’atterrir sur une Dauerstelle aux KIT avant le début de mes quarantaines. Actuellement une très grande partie des « Post-docs » dans le système allemand, – n’auront pas cette chance. En fait cela semble plutôt se détériorer d’année en année !
Comme je ne joue que très rarement au Lotto, – et qu’en plus je n’ai jamais gagné – je n’ai donc jamais vraiment songé à devenir « Privatgelehrter » et « cultivateur d’Agrumes » et en plus j’ai une très belle position d’enseignant – chercheur au KIT[5]. Mais l’intérêt pour les « agrumes » a persisté et je me suis mis à rechercher les espèces d’agrumes résistant au froid potentiellement cultivables en pleine terre autre que « Ponicirus trifoliata » dans la « Unterhaardt » – et d’essayer leur culture dans notre petit jardin à Grünstadt. Et c’est donc ainsi que je suis tombé sur le « Yuzu », après avoir essayé les Kumquats longs (Fortunella margarita) et les mandarines Satsuma (Citrus reticulata subsp. unshiu) sans succès. J’ai acheté mes premiers deux Yuzus, issus de semis, dans une pépinière spécialisé en France. Malheureusement ils ont subi une attaque à la tondeuse à gazon de un de mes enfants, – mais par chance – les deux Yuzus ont repris de souche – et j’espère que dans quelques années mes deux « Yuzus de semis » porteront leurs premiers fruits. J’ai un troisieme exemplaire, que j’ai acheté dans un « garden center » allemand durant l’été de l’année dernière, – qui semble être greffé – mais qui visiblement ne semble pas avoir bien réussi !
A noter qu’un Calamondin (Citrus mitis), que nous avons oublié dans son pot au jardin, a très bien survécu le dernier hiver, – hiver dans lequel on nous n’avions que quelques journées de moins de sept dégrés.
Je finis cette petite notice sur le Yuzu un peu anecdotique avec un petit conseil de lecture. Pour ceux qui s’intéressent à la culture des agrumes résistant au froid en pleine terre – je conseille l’excellent livre « Agrumes résistant au froid à cultiver en pleine terre » écrit par Olivier Biggio et Bertrand Londeix et publié aux éditions Ulmer. Je mettrai toutefois un petit bémol concernant la carte des zones climatiques, – je pense que certains vallées traversant les collines sous-vosgiennes comme par exemple la valle noble à Soultzmatt[6], – ou certaines régions particulière comme la Unterhaardt dans le Palatinat, – la Unterhaardt qui est d’ailleurs souvent décrite comme la « toscana allemande [7]» pourraient très bien entrer dans la catégorie 8a. Pour tous amateurs d’« agrumes » vivant au Nord de Loire, – ce petit manuel sur les Agrumes – est un véritable « must ». On trouve vraiment presque toutes les infos nécessaires pour s’attaquer à la culture des Agrumes dans les régions non méditerranées de l’Europe de l’ouest et en partie le versant occidental de l’Europe central/Mitteleuropa. Et si par hasard il y aurait une deuxième édition augmentée du livre, – je suggère aux auteurs d’y ajouter la suisse romande, car les bords du lac Léman, du lac de Neuchâtel, et du lac de Bienne – sont tous susceptibles à la culture de bon nombre des espèces d’agrumes décrit dans ce livre merveilleux!
Scan : Couverture du livre : Agrumes résistant au froid. À cultiver en pleine Terre
Bibliographie :
Biggio, Olivier; Londeix, Bertrand : Agrumes résistant au froid. À cultiver en pleine Terre. Paris, les éditions Ulmer 2022, ISBN 978-2-37922-205-4
Christophe Neff, écrit le 15.05.2022, publié le 15.05.2022
P.S. (16.05.2022 : 8 :00) : En complément de ce billet de blog sur les agrumes, je renvoie à cet article de la Wikipedia.fr „Agrumes japonais“ très instructive, dans lequel on trouve aussi certaines espèces d’agrumes susceptible d’être cultive en pleine terre en France – et dans les régions viticoles allemandes !
[6] C’est d’ailleurs à Soultzmatt, que j’ai decouvert durant les années 1990, mes premier Eucalyptus et mes premiers Kumquats en plein terre au nord de la « Loire ».
In der Nacht vom letzten Freitag auf Samstag (8 auf 9.4.2022) kam es im Leiningerland und in der Unterhaardt zu einem Wintereinbruch. Einen Wintereinbruch mit beeindrucken Schneemassen, – und dies nicht nur im Leiningerland und in der Unterhaardt, sondern wie man danach in der Rheinpfalz lesen konnte, in weiten Teilen der Pfalz. Die Autobahn A 6 war in dieser Nacht zwischen Grünstadt und Kaiserlautern voll gesperrt, viele Nebenstraßen waren durch Schneebruch unpassierbar geworden, und selbst im Bahnverkehr kam es zu Verspätungen. Ich wohne nun seit mehr als zwanzig Jahren in Grünstadt in der Pfalz, aber solch einen Wintereinbruch mitten im Frühling habe ich so hier noch nie erlebt. Ich kannte so etwas nur aus meinen Kindheitstagen. In der Raumschaft Schramberg im Schwarzwald, in der ich aufgewachsen bin, konnte es durchaus vorkommen, dass es bis Anfang Mai zu Schneefällen kam. Ein richtiges Frühjahr wie man es in der Pfalz kennt, gab es damals während meiner Kindheit in den 1970 Jahren im Schwarzwald nicht, – während auf dem Fohrenbühl und auf der Bergvorstadt Sulgen wo wir damals ja lebten, noch Schnee lag, blühten zwischen Gengenbach und Fischerbach schon die Kirschbäume. Ich habe diese langen Winter den 1970er Jahren in der Raumschaft Schramberg ja auch u.a. zuletzt in dem Beitrag „Wie einst Maria Chapdelaine in Péribonka“ beschrieben.
Der Wintereinbruch den ich letztes Wochenende hier rund um Grünstadt erlebt habe, hat mich wohl deshalb so beeindruckt, da ich am Vorabend erst von einem geobotanischen Kartierpraktikum an der Algarve zurückkam. Größer könnte der landschaftliche Kontrast kaum sein, – das Blütenmeer der frühlingshaften Landschaften der Algarve – und hier im Leiningerland Schneelandschaft mit querstehenden Lkws auf der A 6 und Stromausfall in den Dörfern des Eckbachtales.
Das „Titelphoto“ zeigt den Westring in Grünstadt am Abend des 8 Aprils. Ich kam gerade von Frankenthal, wo ich eines meiner Kinder am Bahnhof abholte, da es ja auch an diesem besagten Abend zu erheblichen Behinderungen im Bahnverkehr kam. Abenteuerliche Fahrt, sozusagen eine „Nachtschneefahrt“ über die Dörfer Obersülzen, Dirmstein und an Hessheim vorbei nach Frankenthal und auf dem gleichen Wege wieder zurück nach Grünstadt. Im Grunde genommen war ich so gut wie alleine auf der Straße. Im Schwarzwald aufgewachsen, tausche ich die Winterräder gegen die Sommerräder in der Regel erst Ende April/Anfang Mai aus. Auch wenn ich nun seit über zwanzig Jahren in der Unterhaardt lebe, die oftmals als „Toskana“ Deutschlands bezeichnet wird[1], – die Kindheitserinnerungen an die langen Winter und Wintereinbrüche Ende April /Anfang Mai im Schwarzwald sind noch immer so prägend, dass ich den Wechsel von Winter auf Sommerräder doch meist recht spät im Frühjahr vollziehe!
Wie schon in den Jahren zuvor (2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021) folgt hier eine kurze Notiz über das phänologische Frühjahrsgeschehen in Grünstadt, der Unterhaardt und dem Leiningerland. Den ersten blühenden Mandelbaum dieses Jahres entdeckte ich in Grünstadt in der Sausenheimer Strasse, Ende Februar und zwar am Samstag den 26.02.2022[1]. Dies ist etwas früher als im letzten Jahr. Daneben findet man hier und da auch schon erste Osterglocken. Eine blühende Kamelie ist mir bei meinen „Pflanzenbeobachtungspaziergängen“ auch schon begegnet, sowie andere interessante Naturerscheinungen wie beispielsweise die ersten Iris reticulata oder auch vereinzelte Halsbandsittiche in der Grünstadter Frühlingsluft.
Narcissenblüte Grünstadt 26.02.2022
Iris reticulata Grünstadt 26.02.2022
Comme déjà dans les années (2015, 2016, 2017, 2018 , 2019, 2020, 2021 ) voici quelques observations phénologiques sur le début du printemps à Grünstadt, la Unterhaardt et le Leiningerland. Mon premier amandier en fleurs je le samedi 26.02.2022 à Grünstadt dans la Sausenheimer Strasse[2]. C’est un peu plus tôt que l’année dernière. En outre, on trouve déjà ici et là les premières narcisses jaunes. J’ai également rencontré un camélia en fleurs lors de mes „promenades d’observation des plantes“, ainsi que d’autres phénomènes naturels intéressants, comme par exemple les premiers Iris reticulata ou encore des perruches à collier isolées dans l’air printanier de Grünstadt. .
Grünstadt, im Morgengrauen des 28.02.2022, à l’aube du 28 février 2022
Les premières neiges de l‘hiver 2021/22 arrivent à Grünstadt durant la journée du lundi 29 novembre 2021. Mais ce fut que quelques flocons ici et là. Décidément la Unterhaardt n’est pas un pays de neige, elle porte à juste titre le nom « Toskana Deutschlands (la toscane allemande) ». Les photos, prisent ce matin pendant mon « jogging matinale » sur le Grünstadter Berg, montrent quelques minuscules petites taches de neige sur les champs, prés et vignobles du Grünstadter Berg.
Vor vier Jahren veröffentlichte ich einen kurzen französischsprachigen Blogbeitrag über mein Wahlkampfengagement für Isabel Mackensen-Geis – « Blognotice 21.09.2017: en campagne électorale pour Isabel Mackensen (SPD) ». Wahlkampf habe ich bei dieser Bundestagswahl keinen für Isabel gemacht, aber das lag u.a. auch daran, dass Corona bedingt ein Großteil meiner Geländelehrveranstaltungen in den Spätsommer/Herbst gelegt werden musste, und ich seit Mitte andauernd August fast ununterbrochen ja teilweise auch an den Wochenende unterwegs war und ich eigentlich schon wieder auf dem Sprung mitten in den Atlantik auf die Azoren bin. Aber selbst wenn ich bei dieser Bundestagswahl keinen Wahlkampf für Isabel Mackensen-Geis gemacht habe, – meine Stimme hat sie schon bekommen. Ich habe mit meiner Erststimme für Isabel Mackensen-Geis gestimmt, weil ich finde, dass sie den Bundestagswahlkreis Neustadt – Speyer sehr gut vertritt. Darüber hinaus fühle ich mich ihr auch politisch näher als dem 2017 direkt gewählten CDU Kandidaten Johannes Steiniger. Wer weiß, vielleicht schafft es Isabel ja sogar das Direktmandat zu erobern! Das wäre unabhängig vom Gesamtausgabe der Bundestagswahl schon eine kleine politische Sensation. Statt Straßen Wahlkampf für Isabel Mackensen-Geis zu machen, reproduziere ich hier in meinem „paysagesblog“ eben eines der „ Wahlkampfplakate“ für Isabel!
Politisch fühle ich mich den „Grünen“ eigentlich schon viel näher als der SPD, – obwohl ich ja immer noch SPD Mitglied bin. Das Wahlkampfprogramm der Grünen überzeugt mich auf jeden Fall mehr als das der SPD. Aber letztlich wählte ich dann doch auch mit meiner Zweitstimme SPD, denn ich denke, dass die Grünen in einer Jamaikakoalition nur Bruchteile ihres Wahlprogrammes umsetzten werden können. Eine sozialökologische Wende wie ich sie mir wünsche – ist wohl nur mit einem Kanzler Olaf Scholz erreichbar. Mehr „Güter“ auf die Bahn, mehr Schienenverkehr, – das ist wohl nur mit einem grünen Verkehrsminister sei das nun Matthias Gastel, Anton Hofreiter oder Cem Özdemir in einer rotgrünen Koalition oder auch Ampelkoalition machbar. Hier muss endlich umgesteuert werden! Dass dies möglich ist zeigt übrigens vorbildlich unser südlicher Alpennachbar die Schweiz.