L’abricotier des voisins fleurit depuis quelques jours, les amandiers longeant la route de vins allemands se mettent à fleurir. Le printemps est enfin arrivé ici dans la Unterhaardt et j’en parlais déjà dans mon dernier billet « Frühlingsbeginn und Mandelblüte 2025 an der Unterhaardt / Début de printemps 2025 et floraisons des amandiers dans la Unterhaardt». L’hiver à Grünstadt, – fut une fois de plus, long – sombre et gris – enfin c’est comme cela que j’ai perçu cet hiver qui vient de se finir. J’aimerais bien revoir les pêchers et abricots en fleurs du Roussillon, avec en coulisse le Canigou enneigé. Partir voire la famille à Leucate pour quelques jours. Se balader sur le plateau de Leucate, – voir les orchidées et les narcisses en fleur. Mais c’est un long trajet – que ce soit en voiture ou en train. Le TGV n’a d’ailleurs pas amélioré considérablement les voyages en train entre Perpignan et Strasbourg et l’Allemagne. J’ai plutôt l’impression que cela s’est empiré d’année en année ! Qui se souvient encore du train Rapide « Rouget-de-Lisle » Strasbourg – Marseille (Nice)[1], – qui comportait des voitures directs Strasbourg – Cerbere, – et qui était dédoublé en saison estivale par un train direct Strasboug – Cerbere. Et naturellement il y avait les trains de nuits qui reliaient l’Allemagne et l’Alsace avec le Midi. En plus au temps d’Air Inter, – la relation avec correspondance courte à Orly Ouest – en 3H30 de l’Strasbourg vers Perpignan, relation que fut partiellement repris par Air France, – mais qui a disparu entre temps. La manière dont la Sncf organise les relations TGV/trains de nuits en l’Allemagne, l’Alsace et la partie occidentale de l’Occitanie n’invite guerre au voyage en trains. Seule alternative depuis Grünstadt les vols directs de Lufthansa Francfort – Toulouse. Sinon, si on veut éviter l’avion il reste que le trajet en voiture, – mais c’est un long trajet épuisant, surtout si l’on est dans état de santé fragile.
Je me demande parfois comment François Mitterrand, a pu « régner » pendant deux septennats sur la France, – menant en même temps quasiment une double vie privée – et souffrait d’un cancer de la prostate. La manière de Mitterrand de faire face à la maladie mortelle et ses souffrances m’impressionne encore beaucoup. En plus j’aimerais bien pouvoir « Mitterrand » interroger sur la situation géopolitique international actuelle. La vue Mitterrandienne sur les relations internationales actuelles et du rôle de la France, – cela mériterai certainement l’attention. Même si la dérive autoritaire de l’administration Trump me surprend pas trop, – je l’avais même prévue dans un certain sens dans le billet « America where are you going » – cela m’attriste de voir l’Amérique, les Etats-Unis – le pays de la liberté s’enfoncer de plus en plus dans un régime techno-féodalismeprotofasciste[2].
Je finis cette petite notice de blog, avec une pensée pour Boualem Sansal. Lui aussi est, si on croit bien le Monde, est atteint d’un cancer de la prostate[3]. Malade, emprisonné à Alger, – j’espère que Boualem Sansal pourra vite retrouver la liberté et revenir en France. Plusieurs fois par semaine, je reposte dans Mastodon sous le #boualemsansal mon petit message de solidarité « Poste restante : Alger – pour ne pas oublier Boualem Sansal ! » que j’avais écrit début décembre 2024. Ce fait déjà plus que trois mois que Boualem Sansal est emprisonné, malade d’un cancer de la prostate ….. espérons qu’il pourra vivre le temps que la maladie lui laisse en pleine liberté en dehors des murs d’une prison !
Wie schon in den Jahren zuvor (2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022, 2023, 2024) folgt hier eine kurze Notiz über das phänologische Frühjahrsgeschehen in Grünstadt, der Unterhaardt und dem Leiningerland. Die Mandelblüte rund um Grünstadt setzte dieses Jahr im Vergleich zu den Vorjahren später ein. Soweit man den Décodeurs vom LeMonde.fr glaubt, dann hat es im Jahr 2024 ein erhebliches „Sonnenstundendefizit“ in großen Teilen Frankreichs gegeben[1], gefühlt hatte ich auch den Eindruck, das sich hier ähnliches abspielt, – aber die Zahlen der agrarmeteorologischen Station Grünstadt – Sausenheim sprechen hier eine andere Sprache. Der Mandelbaum in der Sausenheimer Straße in Grünstadt spielte mal wieder den Vorreiter, – am 10.03.2025 stand er in voller Blütenpracht. Hier und da kann man auch einige Blutpflaumen (Prunus cerasifera var. pissardii (Carrière) Koehne) in Grünstadt und Umgebung blühen sehen. Wobei man hier im Vergleich zum naheliegenden Elsass die Blutpflaume doch seltener als Ziergehölz verwendet wird. Leider ist ja mein räumlicher Radius, durch die „Maladie de Mitterrand[2]“ doch recht eingeschränkt, aber bei meinen Fahrten ins Klinikum Worms, konnte ich beobachten, dass sich die Mandelbäumchen zwischen Grünstadt und Bockenheim in der Vorblüte befinden, wobei es sich hier bei ja um die rosa blühenden Pfirsich-Mandel Hybriden (Prunus × amygdalopersica) handelt, die wohl auch demnächst blühen werden. Bei der „Perle der Weinstraße“ handelt es sich um eine solche Pfirsich-Mandel Hybride. Wer sich für die Sortenbestimmung der verschiedenen Mandelarten und Pfirsich-Mandel Hybriden an der Weinstraße interessiert, dem sei das vorzügliche Buch „Einheimische Mandeln“ von Philipp Eisenbarth zur Lektüre empfohlen. Mit Hilfe dieses Buches lassen sich wohl die meisten Mandel Sorten (und Verwandte) an der Weinstraße bestimmten.
Comme les années précédentes (2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022, 2023, 2024), voici une brève note sur les événements phénologiques printaniers à Grünstadt, dans la Unterhaardt et le Linage.. Cette année, la floraison des amandiers autour de Grünstadt a commencé plus tard que les années précédentes. Si l’on en croit les décodeurs duMonde.fr[3], il y a eu en 2024 un « déficit d’heures d’ensoleillement » considérable dans une grande partie de la France, j’ai aussi eu l’impression qu’il se passait la même chose ici, – mais les chiffres de la station agro-météorologique de Grünstadt – Sausenheim parlent un autre langage. L’amandier de la Sausenheim Straße à Grünstadt a une fois de plus joué les précurseurs, – le 10.03.2025, il était en pleine floraison. Ici et là, on peut également voir fleurir quelques pruniers sanguins (Prunus cerasifera var. pissardii (Carrière) Koehne) à Grünstadt et dans les environs. Bien qu’ici, en comparaison avec l’Alsace toute proche, le prunier sanguin soit plus rarement utilisé comme arbuste d’ornement. Malheureusement, mon rayon d’action est limité par la « maladie de Mitterrand[4] », mais lors de mes déplacements au Klinikum Worms j’ai pu observer que les amandiers entre Grünstadt et Bockenheim étaient en pré-floraison. Il s’agit ici d’hybrides pêcher-amandier à fleurs roses, qui fleuriront sans doute prochainement. La „Perle der Weinstraße“ est un hybride pêche-amande de ce type. Pour ceux qui s’intéressent à l’identification des différentes variétés d’amandes et d’hybrides pêches-amandes etc. de la Route du vin allemande, nous recommandons la lecture de l’excellent livre « Einheimische Mandeln » de Philipp Eisenbarth. Grâce à ce livre, il est possible de déterminer la plupart des variétés d’amandiers (et apparentées) de la Route du Vin allemande (Deutsche Weinstraße).
Diese Lesenotiz ist dem Buch „der Bücherfreund“ gewidmet, welches ich in der Radiosendung „Lesenswert“ in SWRKultur am 16.2.2025 durch die Buchkritik von Jörg Magenau „Monika Helfer – Der Bücherfreund “ entdeckte. Als ich diese Buchrezension hörte dachte ich mir, – dieses Buch werde ich bestimmt lesen. Aber das denke ich tatsächlich oft, beschaffe mir das Buch, – und dann bleibt es erst einmal ungelesen in meiner Bibliothek. Völlig unabhängig, ob es ich um ein traditionelles gedrucktes Buch handelt oder um ein E-Book. Irgendwann wird das neuerworbene Buch dann doch angelesen, überflogen und letztendlich irgendwann mal auch „auf der Zeile“ gelesen. Den Bücherfreund habe ich mir dann doch relativ schnell nach der gehörten Rezension im örtlichen Buchhandel, also der Buchhandlung Frank in Grünstadt gekauft und dann an einem schönen Frühlingsnachmittag auf unserer Gartenterrasse gelesen, – abends dann, als die Sonne unterging hatte ich es auch schon zu Ende gelesen. Ich bin froh, dass ich es mir noch als traditionelles Buch gekauft habe, und nicht als E-Book für meinen Tolino, weil es sich tatsächlich um ein sehr schön gemachtes Buch handelt[1]. Die Illustrationen von Kat Menschik ergänzen den Text von Monika Helfer eindringlich. Mit Text und Bildern reist man durch die Bücherwelt des „Vatis“, dem Vater von Monika Helfer, auf der Tschengla[2]. Man reist auch durch die Nachkriegswelt, die dem zweiten Weltkrieg folgte, und den Erinnerungen die diese Welt hinterließ. In gewisser Weise bin ich ja auch ein Kind dieser Nachkriegswelt auch wenn ich doch jünger als die Autorin bin[3]. Auf dem Bild der Seite 21 glaube ich den „Unteroffizier Beckmann“ der den Zug der Versehrten, die dunklen stummen Schatten der Erinnerung an den zweiten Weltkrieg, anführt, zu erkennen. „Draussen vor der Tür“ welches ich als Oberstufenschüler gelesen hatte, – ist mir bis mir bis heute als Lektüre unvergesslich geblieben. Im Staatstheater Stuttgart wird das Theaterstück von Borchert zu Zeit in einer Neuinszenierung von Sapir Heller aufgeführt, – die Premiere war am 01. November 2024[4]. Bisher habe es nicht geschafft das Stück anzusehen. Ich war ja auch zu krank und zu schwach dazu. Vielleicht kann ich es ja im anstehenden Frühjahr, soweit das Stück noch gespielt wird, mit Freunden aus Stuttgart ansehen. „Kriegsversehrtenschlangen“ – diese Bilder sind von unseren Straßen längst verschwunden, – aber in der Ukraine, – und wohl in Russland sieht man sie wieder, die „Kriegsversehrten“. Ich frage mich, ob man in Russland die Kriegsversehrten vom Straßenbild fernhält, ob man sie einfach aus dem kollektiven Gedächtnis wegretuschiert. Beim Lesen des Buches, das ja so viel vom Kriegs erzählt, denke ich oft an die Ukraine, denn dort herrscht jetzt der Krieg, – und ich frage mich, ob die Autorin nicht auch ab und zu an die Ukraine dachte als sie den Text schrieb. Aber die Autorin ist ja mit den Schatten des letzten Weltkrieges, bzw. den Erinnerungen daran aufgewachsen. Das Kriegsversehrtenheim auf der Tschengla hat es wirklich gegeben, – denn die Autorin erzählt uns die Geschichte ihres Vaters und seinen Büchern. Sie hat diese Geschichte ausführlicher und anders schon einmal in dem Roman „Vati“ erzählt. Aber dieses Buch kenn ich (noch) nicht. Ja, und natürlich geht es im Bücherfreund um Bücher und Verlust. Bücherverlust und andere Verluste, die jedoch nur angedeutet werden. Die Idee des Vatis dem drohenden „Bücherverlust“ durch das Vergraben von einigen Büchern zuvor zukommen, das hat doch einen gewissen Charme, aber zeigt auch die Ausweglosigkeit der Situation. Ich selbst habe viel zu viele Bücher, und weiß eigentlich schon gar mehr wohin mit all diesen Büchern – und ich werde mich zwangsläufig von einem Teilen meiner Bücher trennen müssen. Um das Platzproblem der überquellenden Buchregale zu lösen habe ich mir ja auch einen E-Book Reader gekauft, – darüber habe ich hier in diesem Blog schon mehrfach berichtet[5]. Im Juni 2031 werde ich das gesetzliche Pensionsalter erreicht haben, – und dann allerspätestens sollte ich wissen, wohin mit all diesen Büchern in meinem Büro am Institut für Geographie und Geoökologie (IFGG) am KIT. Vielleicht mit dem Studienfreund aus Mannheim, auch er ein Bücherfreud aus dem Schwarzwald, im besagten Schwarzwald eine Hütte mieten oder kaufen und dort die Bücher mit einem Hausvorrat an Klingelberger, Ruländer, Spätburger lagern. Den dreibändigen Rikli „das Pflanzenkleid der Mittelmeerländer“ , die „Vegetationskunde des Schwarzwaldes“ von Bartsch & Bartsch, die letzte (deutschsprachige ) Ausgabe des Ellenberges „Vegetation Mitteleuropas mit den Alpen“ , die Studie „Contribution à la mise en valeur de la Costière du Gard : étude du milieu“ mit den farbigen Vegetationskarten von Kuhnholtz-Lordat, den Maydell „Arbres et Arbustes du Sahel“ werde ich mir auf jeden Fall mit nach Hause nehmen. Den Ellenberg hatte ich mir ja seit dem Studium bei jeder Neuausgabe neu gekauft. Von einer Hütte im Schwarzwald als Bleibe für die geliebten Bücher und ein paar Bouteillen Wein um mich dort mit dem Bücherfreund aus der Studienzeit in Mannheim zu Wanderungen durch den Schwarzwald zu treffen, – das wird nur ein Traum bleiben. Studierende werden diese Bücher, also meine „Bürobücher“ die ich mir teilweise schon als Student gekauft hatte, auch kaum gebrauchen können, das Fach, das ich vor nun vor über vierzig Jahren in Mannheim und Montpellier studiert habe[6], das kann man heut zu Tage eigentlich ohne eine Buch in die Hand zu nehmen, studieren. Manchmal wundere ich mich auch über Fachkollegen die „Bücher“ und „Buchwissen“ für relativ unbedeutend halten, ja selbst längere Zeitschriftenaufsätze gelten da schon als unwissenschaftlich oder gar irrelevant. Da komme ich mir manchmal vor wie ein Feld, Wald und Wiesengeograph aus einer „Welt von Gestern“, sozusagen eine vom Aussterben bedrohte Art[7]. Die wenigen oben genannten Bücher, und vielleicht noch ein zwei mehr, werde ich dann also – wenn es soweit ist und ich mich vom Berufsleben verabschiede -einpacken und nach Hause nehmen und zum „Bücherfreund“ von Monika Helfer und der Flora Helvetica ins Buchregal stellen. Den „Bücherfreund“ von Monika Helfer, kann ich denjenigen empfehlen, die gern noch ein Buch in die Hand nehmen, die beim Lesen innehalten können, – die Augen schließen um mit Monika Helfer Bücher und Erinnerungslandschaften aus der Nachkriegszeit auf der Tschengla in Vorarlberg zu entdecken ! Und überhaupt, ohne das literarische Werk von Monika Helfer wäre das Kriegsopfer-Erholungsheim Tschengla, wahrscheinlich schon längst vergessen. Vielleicht sollte ich da irgendwann mal auch hinfahren auf die Tschengla und mir diese Welt, oder was von ihr übriggeblieben ist, auch mit eigenen Augen ansehen. Und sollte ich im Winter kommen, werde ich mich an die junge Frau in der Nachkriegszeit erinnern, die die Rehe mit bloßen Händen am schneebedeckten Waldrand fütterte.
Quellen und Bibliographie:
Bartsch J. & M. (1940): Vegetationskunde des Schwarzwaldes. Jena, Fischer, Pflanzensoziologie Band 4.
Ellenberg, Heinz; Leuschner, Christoph (2010): Vegetation Mitteleuropas mit den Alpen in ökologischer, dynamischer und historischer Sicht : 6., vollst. neu bearb. und stark erw. Aufl. / von Christoph Leuschner. Mit einem Beitr. von Hartmut Dierschke. Ulmer, Stuttgart. ISBN 978-3-8001-2824-2
Helfer, Monika (2021): Vati. Roman. Carl Hanser Verlag München. ISBN 978-3-446-26917-0
Kuhnholtz-Lordat, Georges et al. (1949) : Contribution à la mise en valeur de la Costière du Gard : étude du milieu. Mémoires de la Société d’Etude des Sciences Naturelles de Nîmes, Nr. 8.
Wie vor schon vor drei, ja auch schon vor sieben Jahren habe ich mit meiner Erststimme Isabel Mackensen-Geis gewählt. Diesmal habe ich mich nicht aus beruflichen Gründen für Briefwahl entschieden. Bei der letzten Bundestagswahl war ich mit einer Studentengruppe auf der Azoreninsel Faial, da war die persönliche Stimmabgabe nicht möglich. Jetzt sind es gesundheitliche Gründe die mich zur Briefwahl bewogen haben. Wer weiß, welche Kapriolen die „Mitterandsche Krankheit“[1] mir noch vorbehält. Mit der Briefwahl bin ich mir auf jeden Fall sicher, dass meine „Wahlstimmen“ auch gezählt werden. Wie ich schon im September 2021 schrieb, vertritt Isabel Mackensen-Geis den Bundestagswahlkreis Neustadt – Speyer sehr gut. Ihre Arbeit im Ausschuss für Ernährung und Landwirtschaft überzeugt mich. Weiterhin finde ich, dass sie ihr Amt als „waldpolitische Sprecherin der SPD-Bundestagsfraktion“ sehr gut ausfüllt.
Bei der Zweitstimme fiel mir die Wahl doch schwerer. Da war ich wie bei der letzten Bundestagswahl zwischen den Grünen und der SPD hin und her gerissen. Ich bin zwar SPD-Mitglied, aber bestimmt kein „Parteisoldat“! Letztlich habe ich hat mich dann aber die SPD-Landesliste Rheinland-Pfalz doch mehr überzeugt als die Landesliste der Grünen. Wobei ich mir für Joe Weingarten einen etwas besseren Listenplatz gewünscht hätte. Vielleicht schafft es er es ja nochmals das Direktmandat im Bundestagswahlkreis Kreuznach zu gewinnen. In diesem Zusammenhang, aber in einem anderen Bundesland hoffe ich, dass Johannes Arlt es schafft, sein Direktmandat im Bundestagswahlkreis Mecklenburgische Seenplatte II – Landkreis Rostock III wieder zu gewinnen!
Was den bisherigen Bundestagswahlkampf betrifft bin ich doch ziemlich enttäuscht. Die in meinen Augen zentralen Herausforderungen für unser Land wurden in diesem Wahlkampf kaum thematisiert. Das deutsche Geschäftsmodell der letzten dreißig Jahre, welches im wesentlichen auf russischem Gas & Öl als Rohstoff- und Energiebasis und dem Export von deutschen Industriewaren nach China und in die USA basierte, ist unwiderruflich weggebrochen. Vor unserer Haustür in der Ukraine tobt ein Krieg. Wie können wir die Ukraine weiter unterstützen, mehr unterstützten als bisher, – und vor allem wie finanzieren wir das nachhaltig? Wie finanzieren wir die Bundeswehr nachhaltig, dass sie ihren Auftrag der Landesverteidigung wieder erfüllen kann? Wünschenswert wäre dabei auch eine intensive Debatte über die Wiedereinführung der Wehrpflicht gewesen. Aber da fiel mir eigentlich nur der Beitrag aus dem letzten Spiegel auf, „Debatte über Wehrpflicht Müssen 18-Jährige bald wieder zum Bund?“, ansonsten war da doch eher überwiegend Funkstille!
Die „Aussetzung“ der Wehrpflicht durch Karl-Theodor zu Guttenberg im Jahre 2010, sowie die aus der Neuausrichtung der Bundeswehr folgende Auszehrung der Bundeswehr durch die auf von zu Guttenberg folgenden Verteidigungsminister, halte ich für einen der größten politischen Fehler der letzten 30 Jahre in diesem Lande. Diesen Auszehrungsprozess der Bundeswehr habe ich als aktiver Reserveoffizier bis zu meiner Ausplanung im Jahre 2021[2] während meiner regelmäßigen Wehrübungen immer wieder mitbekommen. Immerhin hat der jetzige Bundesverteidigungsminister Boris Pistorius ja eine Trendwende eingeleitet. Ich hoffe, dass Boris Pistorius auch in der nächsten Bundesregierung diese Trendwende fortführt und beschleunigt und unsere Streitkräfte modernisiert, sodass diese ihren Hauptauftrag „die Landesverteidigung“ auch endlich vollumfänglich durchführen können.
Wie bringen wir unsere marode Infrastruktur in Deutschland wieder auf Vordermann? Ein etwas heftiger Winterbruch wie Anfang Dezember 2023 kann in Teilen Süddeutschlands ja schon den Straßen und Eisenbahnverkehr zum Erliegen bringen[3]. Wie gestalten wir die Anpassungsprozesse an den Klimawandel[4]? Und überhaupt scheint man die gewaltigen Herausforderungen die sich aus dem Klimawandel für unser Land ergeben schlichtweg im Wahlkampf vergessen zu haben. Ähnlich sieht es wohl bei Thema „Bildung, Forschung und Innovation“ aus, – das ist wohl ähnlich wie der Klimawandel vom Wahlkampf, wenn man vom Dauerbrenner „KI“ absieht, nicht wahrgenommen worden. Die teilweise sehr schwierigen Arbeitsbedingungen von Nachwuchswissenschaftlern in der deutschen Forschungslandschaften[5], vormals unter dem Hashtag #IchBinHanna thematisiert, hat schon vor dem Bundestagwahlkampf kaum jemanden interessiert, und spielt auch in den Wahlkampfdiskussionen keine Rolle. Aber ohne Forschung, – ohne den Wissensdrang junger Wissenschaftler wird es die so dringenden Innovationen die Deutschland braucht nicht geben. Die benötigten Forschungsinovationen werden bestimmt nicht vom Himmel fallen. Die angesprochenen Themen ließen sich um viele weitere andere erweitern, – wie beispielsweise mit der erratischen Präsidentschaft von Donald Trump umgehen[6] ,[7],[8] aber das würde diesen kleinen Blogbeitrag sprengen. Denn abgesehen von der Migrationsdebatte ist da wirklich bisher nichts Substantielles zu diesen oben erwähnten Themen (und zu den vielen anderen nicht erwähnten) im Bundestagswahlkampf 2025 zu sehen, zu lesen oder zu hören gewesen! Ich habe auch nicht die Hoffnung, dass sich das bis zur Bundestagwahl am 23 Februar 2025 grundlegend ändert!
Mercredi le 5.2.2025, je faisais une petite balade en Alsace, à Wissembourg, – pour chercher quelques livres dans la librairie à « livre ouvert » chez Willy Hahn[1]. Cloué chez moi à Grünstadt par les soubresauts de la maladie de Mitterrand[2], depuis des mois, intercepté par quelques hospitalisations, – c’est aussi un teste valeur nature pour voir si je pourrais me remettre aux trajets Grünstadt – KIT et retour pour reprendre mes activités professionnelles. Les paysages passent, – et derrière le volant je pense au coup d’état silencieux que les Etats-Unis subissent actuellement[3]. C’est le début de la fin de la « rule of law ». Concernant l’avenir de la démocratie libérale aux Etats-Unis, sous un deuxième mandat présidentielle de Donald Trump, je suis plutôt pessimiste, – je l’avais d’ailleurs déjà écrit en Octobre 2024 dans « America where are you going ? ».
Traversent la belle foret d’hêtre, de chênes et des pins sylvestre entre Lauterbourg et Wissembourg enfin le soleil fait son apparition. Grünstadt, – est un véritable « Nebelloch (trou de brouillard) » en hiver, – c’est en lisant et en écrivant que j’essaie d’échapper à la grisaille. J’essaie de lire le maximum de livre en version électronique sur ma liseuse Tolino[5], – mais malheureusement il y beaucoup de livres qui n’existe pas en version électronique. Souvent ce sont des livres rares, – petit éditions à exemplaires réduits, raretés bibliographiques comme par exemple le livre sur le « TMFB – le Train Militaire Français de Berlin » de Jean-Michel Feffer (2022), que j’ai acheté dans la librairie « à livre ouvert » à Wissembourg.
Le « Train Militaire Français de Berlin » je l’avais parfois croisé pendant ma jeunesse sur le quai de la gare de Strasbourg durant les années 1980. En plus j’ai une petite collection de livres de la Bibliothèque de la Pleiade que j’enrichis de temps en temps chez Willy Hahn.
Ces souvenirs d’un train historique me rappelle aussi la rencontre « virtuelle » avec un véritable ami des trains et des chemins de fer[6] , grand lecteur et admirateur de Friedrich Hölderlin – dans les commentaires dans la République de Livres. Jean-Philippe Goldschmidt alias « Montaigne à Cheval » qui décédait beaucoup trop tôt en février 2017. Pierre Assouline lui avait dédie une belle nécrologie « Pour saluer Montaigne à cheval » dans la RDL. Je récupère donc mes livres chez Willy Hahn, – et nous nous échangions aussi sur « le pasteur Oberlin[7]» – et sur la disparition de la « Gastwirtschaftskultur » en Allemagne du Sud – phénomène dont je parle aussi dans mon dernier billet « Schwäbisch – Französische Lesenotizen zu „Mein Schwaben“ von Vincent Klink“. J’emballe mes livres, dont le dernier ouvrage de Joan Sfar « Que faire des juifs » et je prends quelques photos et je repars vers Grünstadt pour retrouver brouillard et grisaille de la Unterhaardt.
Et comme cette notice de blog est dédiée aux livres et paysages. Dimanche dernier – j’ai visité l’exposition « die neue Sachlichkeit – ein Jahrhundertjubiläum[8]“ à la Kunsthalle Mannheim. Une exposition époustouflante, – mais qui souffre aussi un peu de son succès – il y avait vraiment un « monde fou » ! L’exposition me fait redécouvrir l’ouvre de Eugen Knaus[9], – comme par exemple « Wiesenlandschaften » – ou me laisse couper le souffle par « Christus und die Sünderin » de Max Beckmann. J’ai donc acheté le catalogue de l’exposition, – qui est aussi un veritable « chef-d’œuvre » bilingue (allemand/anglais) – et qui me permettra de prendre le temps et tous le calme nécessaire pour me replonger dans les tableaux de l’exposition de Mannheim. Oui – les catalogues d’exposition sont aussi des livres qui sont dans la plus part du temps des livres traditionnels. En plus dans le cas des livres d’exposition je préfère après tout l’édition traditionnelle – disons un veritable livre, – même si ce veritable livre prends énormément de place dans ma bibliothèque !
[8] Neue Sachlichkeit = Nouvelle objectivité, mouvement artistique qui se développe en Allemagne entre 1918 et 1993, voire aussi l’article Wikipedia.fr « Nouvelle objectivité ».
[9]Eugen Knaus est un artiste quasiment oublie, on trouve quasiment pas de informations bibliographiques, même pas d’article dans la Wikipedia.de .
„Mein Schwaben – Leben und Speisen im Ländle des Eigensinns“ so heißt das neueste Buch von Vincent Klink. Die erste Spur des Buches entdeckte ich in einem Spiegelbeitrag über die Erfahrungen von Barbara Supp als „Handlangerin“ in Kliniks Wielandhöhe[1]. Beim Lesen des interessanten Artikels von Barbara Supp, erinnerte ich mich daran, dass ich irgendwann in meinem Leben mal vorgehabt hatte vor meinem sechzigsten Geburtstag dort einen schönen Abend mit Studienfreunden aus Mannheim und Stuttgart zu verbringen. Aber dann erwischte mich u.a. anderem die Krankheit die schon Mitterrand zu Fall brachte, – die „Maladie de Mitterand“ – und irgendwie war es auch dann wieder vergessen[2]. Meinen sechzigsten verbrachte ich dann im Schwarzwald, in Buchenberg[3] nicht weit von der Schwarzwaldstadt Schramberg in der ich aufgewachsen bin. Mit schönen Wanderungen durch den Schwarzwald und gutem Essen. Auch in Buchenberg sowie der gesamten Raumschaft Schramberg kann man gut essen, wie beispielsweise im Café Rapp in Buchenberg, dem Hirsch in Schramberg, dem Adler auf dem Fohrenbühl um einfach ein paar Namen zu nennen. Natürlich kann man diese Gasthöfe nicht mit der Wielandshöhe in Stuttgart vergleichen. Anders, aber dennoch gut. Und dann gibt es auch noch die Friedhofskapelle St. Nickolaus in Buchenberg, – die zu meiner Schulzeit als einer ältesten Kirchen im Schwarzwald zählte. Von Buchenberg kann man schön auf den Mönchhof[4] und dann weiter aufs „Hardt“ spazieren gehen. Man kann das natürlich auch in umgekehrter Richtung laufen. Bei guter Sicht hat man auf dieser Spazierstrecke abschnittsweise einen schönen Blick auf die Schweizer Alpen, den Säntis und viele andere Berggipfel der Ostalpen. Früher gab es an diesem Weg am Waldrand auch mal eine Bank mit dem Namen „Alpenblick“. Erwähnenswert ist auch die im Jahre 2000 vom damaligen Hofbauer und Wirt Martin Flaig im Mönchhof erbaute Hofkapelle namens St. Martin[5].
Je nachdem wie man „Schwaben“ oder das „Schwäbische“ definiert, bin ich ja mitten im „Schwäbischen“ aufgewachsen. Und mit dem „Schwäbischen“ hat es ja schon eine besondere Bewandtnis bei mir. Als Kind, zu Grundschulzeiten, meinten wiederholt Freunde meiner Eltern „der Bua kann kei Hochdeutsch, – sondern nur Französisch und Schwäbisch[6]“. Hochdeutsch lernte ich dann erst in der Grundschule und später im Gymnasium in Schramberg. Schwäbisch lernte ich „uf der Gass“ – wobei man eigentlich sagen müsste ich lernte das auf den Höfen[7], den Wiesen und Wäldern auf dem Schoren, der Hutneck[8] und dem Feuerenmoos in der Bergvorstadt Schramberg-Sulgen und bei der Verwandtschaft, also meinen Großeltern und den vielen Neff’s in der Karlstraße vis à vis des Saulgauer Bahnhofes[9]. Und wahrscheinlich ist mein Deutsch doch immer noch dialektal „schwäbisch“ gefärbt, obwohl ich ja schon seit Jahrzehnten in der Kurpfalz lebe.
Als ich das Buch „mein Schwaben“ zum ersten Mal in der Hand hielt überlegte ich, wie Klink eigentlich „Schwaben“ definiert und wie ich es definieren würde. Für mich entspricht „Schwaben“, also der schwäbisch-alemannische (dialektale) Sprachraum im weitesten Sinne der Region Mitteleuropas in dem der „Wurstsalat“ zu Hause ist, wobei der Wurstsalat im Elsass nicht „Wurstsalat“ heißt, sondern als „salade de cervelas“ oder „salade alsacienne de cervelas[10]“ bezeichnet wird[11]. Letztlich entspricht diese, meine „géographie grastronomique imaginaire[12],[13]“ angelehnte kognitive Definition „Schwabens“ auch der von Klink gewählten räumlichen Abgrenzung Schwabens, die letztlich wie auch die erste Vorsatzkarte in Klinks Buch zeigt, sich an den Grenzen des mittelalterlichen Herzogtum Schwaben orientiert – was Klink dann auch im Prolog seines Buches in Worten darstellt. Das ist schon eine besondere räumliche Abgrenzung, wenn man bedenkt, dass man wohl im alltäglichen Sprachgebrauch, Schwaben mit Württemberg oder gar dem Königreich Württemberg gleichsetzt, – was wohlgemerkt historisch falsch ist. Klink ist mit der geographischen Abgrenzung „Schwabens“ historisch auf der sicheren Seite. Wobei in diesem Sinne, das Blutgericht zu Cannstadt, doch auch irgendwie zur Sprachen kommen müsste, aber vielleicht ist es im Buch auch erwähnt und ich habe es auch „überlesen“. Und soweit man Vincent Klinks Ansatz folgt, oder eben auch der „Gastrogeographie“ des Wurstsalates bzw. der Salade de Cervelas, dann wird die badisch-württembergische Landesgrenze die ja früher auch über den Fohrenbühl verlief zur Makulatur. Das Badenerlied ist ja auch erheblich jünger als das Volkslied „uf der schwäbischen Eisenbahnen“. Und selbstverständlich zählen dann auch die nördlichen Kantone der Schweiz zu diesem Schwaben, auch wenn Klinks Buch da keinen Fuß setzt.
Weiterhin überlegte ich mir, was für mich eigentliche „Schwäbische Speisen und Gerichte[14]“ sind, – und befragte dazu auch noch meine Geschwister. Abgesehen vom „Wurstsalat“ fielen mir da ein, – schwäbischer Kartoffelsalat, Maultaschen, Flädle und Flädlesuppe, saure Nierle und Bratkartoffeln[15], Linsen mit Spätzle, der schwäbische Zwiebelrostbraten, die „Seelen“ Oberschwabens und die fast vergessenen weißen Kalbsbratwürste, die als „Nackerten“ in Oberschwaben bezeichnet wurden[16], – die im Hause meiner Großeltern im oberschwäbischen Saulgau in den 1960 und frühen 1970 Jahren als besondere Delikatesse galten. Und nicht zur vergessen, der Träubleskuchen[17] und die „Springerle“. Vielleicht sollte man auch hinzufügen dass die Heidelbeerkuchen und auch die Zwetschgenkuchen, die ich als Kind in Raumschaft Schramberg immer gern gegessen habe, – doch sehr der elssäsischen „Tarte aux Myrtille“[18] , [19] bzw. „Tarte aux Quetsch“[20] geähnelt haben. In Klinks Buch findet man zu einigen dieser schwäbischen Speisen, aber längst nicht zu allen, Kochrezepte zum „selber kochen“.
Klinks Buch ist eine interessante Mischung, aus rezenter Landeskunde, historischer Geographie und Gastrogeographie eines Landstriches des südwestlichen Mitteleuropas welches man „Schwaben“ nennt. Man könnte es auch als moderne Landeskunde Schwabens ohne wissenschaftlichen Anspruch bezeichnen. Ein Geographiebuch der schwäbischen Landschaften mit kulinarischem Hintergrund. Ja, hier und da habe Neues lernen können, obwohl ich mich ja auch beruflich mit den Südwestdeutschen Landschaften, besonders mit dem rezenten Landschaftswandel befasse, und auch in der universitären Lehre den Zusammenhang von Naturraumausstattung und regionaler Küche immer wieder thematisiere.
Dass „Sebastian Blau“ das Pseudonym von Josef Eberle dem späteren Herausgeber der Stuttgarter Zeitung war, unter dem er während der Naziherrschaft schwäbische Gedichte herausgab, das wusste ich. Aber beispielsweise hatte ich nie von der Widerstandsgruppe „Schlotterbeck“ in Stuttgart während der Zeit des Nationalsozialismus gehört. Else Himmelheber und Friedrich Schlotterbeck widmet Klink auch ein paar Seiten in seinem Buch. Man entdeckt mit Wilhelm Rieber und seinen Tourbillons einen „horloger independant“ wie man ihn doch eher irgendwo in Genf, oder im Schweizer Jura in der Vallée de Joux oder in der Umgebung von La-Chaux-de-Fonds vermutet hätte, aber doch nicht in Tiefenbronn am Rande des Nordschwarzwaldes im Enzkreis. Ja und in diesem Buch lässt sich noch weit mehr entdecken, – oder Altbekanntes wiederentdecken, wie zum Beispiel „Die Liebe höret nimmer auf[21]“ und begegnet Katharina Pawlowna der Königin von Würrtembergund ihrem untreuen Gemahl Wilhelm. AuchFriedrichHölderlin, sowie die anderen Dichter der schwäbischen Dichterschule wie z.B. Justinus Kerner, Eduard Mörike werden nicht vergessen. Besonders gefreut hat mich in dem Buch das Gedicht „Hälfte des Lebens“ [22] von Hölderlin wiederzufinden. Ich halte es für eines der schönsten Gedichte der deutschen Sprache.
Letztlich hat mir das Buch sehr gut gefallen. Natürlich hat Vincent Klink eine sehr subjektive Auswahl getroffen, aber das halte ich für normal. Schwäbisch Gmünd und die Ostalb schildert Klink so anschaulich, dass ich mir bei der Lektüre dachte, da müsste ich doch mal hinfahren, da ich die Gegend nur sehr oberflächlich kenne. Gefehlt haben mir etwas die Wilhelma, der Modellbahnhersteller Märklin[23] aus Göppingen, die schwäbischen Lokomotivbauer von der Maschinenfabrik Esslingen und das Volkslied „uf der schwäbische Eisenbahnen“, die Schwarzwälder Uhrenindustrie, das sind alles Begriffe die ich persönlich mit „Schwaben“ verbinde. In die Wilhelma machte ich als kleiner Bub meine erste größere Reise, – eine Tagesreise Ende der 1960 Jahre von Schramberg in die Landeshauptstadt Stuttgart, – den Onkel Ewald der mit komplizierten Beinbruch in einem Stuttgarter Krankenhaus lag, – danach die Wilhelma entdeckt, – und auch die gelben Straßenbahnen, sowie die Zacke gesehen habe. Der Nachmittag in der Wilhelma war ein unvergessliches Erlebnis für den kleinen Buben, der ich damals war. Und ich bin danach immer wieder gekommen, – auch als Erwachsener, habe sogar während meiner Assistentenzeit in Mannheim dorthin botanische Exkursion durchgeführt, – denn das ist weniger bekannt, – die Wilhelma ist auch ein sehenswerter botanischer Garten.
Abschließend noch ein Punkt, der mich besonders berührt hat. Das Buch von Klinik ist natürlich hier und da eine Beschreibung der Wirtshaus bzw. Gastwirtschaftskultur „Schwabens“ – bzw. dem was davon heute noch übrig geblieben ist[25]. Dementsprechend gibt es auch eine subjektive Liste von empfehlenswerten Gasthäusern aus dem Schwabenland die Klink an den Schluss seines Buches gestellt hat.
In meinen Kindheitstagen gingen wir mit den Eltern fast an jedem Sonntag irgendwo ins Gasthaus essen. In Schramberg, wo ich aufwuchs, – hatte das sonntägliche Essen in der „Wirtschaft“, vielleicht auch etwas mit der Uhrenindustrie[26] zu tun,in der auch viele Frauen arbeiteten. Den arbeitenden Frauen in der Fabrik bzw. der Heimarbeit, wollten die Familien soweit sie es sich leisten konnten, einen „Koch“ und „Arbeitsfreien“ Sonntag schenken. Bei meinen Eltern traf das ja sowieso nicht zu, denn sie waren ja gar nicht beim „Junghans“, sondern im öffentlichen Dienst beschäftigt[27]. Aber das sonntägliche Essen gehen, das kannte mein Vater auch von seinem Zuhause im Oberschwäbischen Saulgau. Da ging man halt sonntags ins „Gasthaus“. Meistens nach dem Kirchgang. Und dann gab es auch noch die Stammtische abends, an den dann auch „gevespert[28]“ wurde. So nahmen meine Eltern jahrzehntelange am Französischlehrerstammtisch des Gymnasium Schramberg teil. Diese wurde u.a. von Irmgard Ströhle[29], unsere Familien waren befreundet – ja wir hatten quasi gemeinsam im Neubeugebiet Eckenhof im Lärchenweg gebaut[30], organisiert. Diese Französischlehrerstammtische fanden dann entweder im Schwanen auf der badischen Seite der Passhöhe Fohrenbühl, – oder im Schraivogel in der Talstadt in etwas unregelmäßigen Abständen statt. Essen gingen meine Eltern oft in Lauterbach, – ins Gedächtnishaus Fohrenbühl dem „Turm“ zum Mutschler, – manchmal auch in den Adler auf dem Fohrenbühl – der württembergischen Seite des Fohrenbühl, manchmal in den „Hasen“ im Sulzbachtal. Oft gingen sie auch mit Freunden in die Hirschbrauerei in Flözlingen, die ja Jahrzehnte lang als kleinste gewerbliche Brauerei Deutschland galt. Hier war dann oft das Ehepaar Harald und Gabi Frommer mit dabei, auch ein Lehrerehepaar vom Gymnasium mit denen meine Eltern auch befreundet waren und die darüber hinaus noch ähnliche politische Ansichten wie meine Eltern teilten. Und natürlich gab es noch andere Gastwirtschaften die mit anderen Freunden oder auch mit den Genossen der Schramberger SPD, aber die Gasthäuser der Schramberger SPD das wäre dann doch noch ein eigenes Kapitel wert, regelmäßig besucht wurden, denn Gasthäuser gab es damals rund um Schramberg wie in großen Teilen des Schwabenlandes noch mehr als genug. Diese kleine „Wirtschaftswelt“ findet man auch im Buch von Vincent Klink zwischen den Zeilen wieder. Und was die „historische Wirtschaftsgeographie“ der Raumschaft Schramberg betrifft, – da könnte man ein ganzes Buch füllen, – ein Buch was man erst noch schreiben müsste[31]. Tatsächlich gibt es solch eine „Wirtschaftgeographie“ für das kleine oberschwäbische Saulgau, man findet in dem Buch „ Saulgau Stadt und Landschaft“ (Eck & Höhfeld 1989) im Kapitel „kleine „ Wirtschafts“ – Geographie“ (S.162-192) tatsächlich ein Verzeichnis der Gastwirtschaften incl. historische Kurzbiographie der einzelnen Lokalitäten.
Manche dieser Wirtschaften aus meinen Kindheitstagen gibt es heute noch[32], manche sind auch verschwunden, und das gilt sowohl für Bad Saulgau als auch die Raumschaft Schramberg in der ich aufgewachsen bin. In den Adler auf dem Fohrenbühl gehe ich selbst immer noch sehr gerne, ein oder zweimal im Jahr soweit es sich einrichten lässt. Der Adler ist schon eine regelrechte Institution auf dem Fohrenbühl, – seit 1780 wird dieser Gasthof von der Familie Moosmann geführt. Irgendwann sollte ich doch etwas mehr in diesem Blog über den Adler schreiben. Wie Vincent Klink so schön schreibt „Es gibt sie aber noch, die guten Gasthäuser, man muss sie nur finden“ (Klink, 2024, 309)[33].
Als ich das Buch „Mein Schwaben“ las ging es mir gesundheitlich nicht sehr gut, – aber vielleicht waren es auch diese kleinen Ausflüge in die Welt der ländlichen Gasthäuser Schwabens die man hier und da verstreut über das ganz Buche findet, die mich persönlich so angesprochen haben. Ja, ich muss es gestehen, die Lektüre des Buches „Mein Schwaben“ von Vincent Klink, die hat mir richtig gut getan! Wie die „Flädlesuppe“ aus meinen Kindheitstagen …..
Bibliographie & Quellen:
Cohen, Ute (2024): Der Geschmack der Freiheit. Eine Geschichte der Kulinarik. Ditzingen, Philipp Reclam jun. Verlag GmbH, ISBN 978-3-15-962278-1
Evangelische Kirchengemeinde Buchenberg (Hrsg)(2001): Todt-Druck Villingen, 2001/2002 im Auftrag der evangelischen Kirchengemeinde Buchenberg. ISBN 3-927677-32-9
Kohlmann Dieter (2024): Die Kindheitserinnerungen der Anna Braitsch – Zur Geschichte der Gastwirtschaft „Hammerhäusle“ im Stadtteil Höfle (1). In : D’Kräz, Beiträge zur Geschichte der Stadt und Raumschaft Schramberg 2024, 44, 5- 19.
P.S.: Den ersten Entwurf dieses Textes verfasste ich am 23.01.2025, also genau am 80 Todestag von Eugen Bolz, dem letzten Staatspräsidenten des Volksstaates Württemberg, der am 23.01.1945 in Berlin Plötzensee von den Nazis hingerichtet wurde.
[3] „Leben im Dorf – Schmackhaftes und Liebenswertes aus Buchenberg“ so heißt eine durchaus lesenswerte kulinarisch-historische Dorfchronik dieses inzwischen zu „Köngigsfeld“ gehörenden Schwarzwalddorfes welches 2001 durch die Evangelische Kirchengemeinde Buchenberg herausgegeben wurde.
[4] Der Weiler Mönchhof gehört auch zu Buchenberg, dort befindet sich auch ein gleichnamiger Gasthof, der Mönchhof. Der eigentliche Möchhof geht wahrscheinlich ursprünglich auf eine Siedlung der Klosters St. Georgen zurück, deren Spuren sich bis ins 11 Jahrhundert verfolgen lassen. Im gleichnamigen Gasthaus kehrten meine Eltern oft mit Freunden und mit uns Kindern in den 1970 Jahren nach dem Pilzesammeln ein.
[5] Zur Geschichte des Mönchhofes und der St. Martin Kapelle siehe auch die reichbebilderte Internetseite „Krippe in der Mönchhof-Kapelle“ der Griesshaber – Family aus Tennenbronn. Erstaunlich ist das es keine Wikipediaseite zum Weiler Mönchhof gibt.
[7] Höfen, im Sinne von landwirtschaftlichen Anwesen, also Bauernhöfen.
[8] Interessante geographisch-landeskundliche Hinweise zur Hutneck findet man auf Internet-Seite „Hutneck – der Stadtteil von Schramberg“ und zwar hier unter: „Hutneck und deren Geschichte“.
[11] Laut dem „Atlas gastronomique de la France“ als „Salade de Cervelas au Gruyere“ (Pitte, J.-R.2017, Karte S. 97) bezeichnet, was wohl weitestgehend dem im Schwarzwald als « Straßburger Wurstsalat » Gericht entspricht. Wobei das Verbreitungszentrum der „Salade de Cervelas au Gruyere“ sich bei Pitte in den Hochvogesen befindet.
[12] Eine sehr schöne rezente „géographie gastronomique“ Frankreichs ist das Buch „On va deguster la France“ (Gaudry 2017). Solch eine „géographie gastronomique“ von Deutschland wäre auch ein schönes Buchprojekt.
[13] Eine deutschsprachige historische Geographie der „Kulinarik“ bietet das Buch von Ute Cohen „Der Geschmack der Freiheit – eine Geschichte der Kulinarik“ – welche die historisch-geographische Entwicklung der Kulinarik beidseits des Rheines in Frankreich und Deutschland und darüberhinaus durchleuchtet
[14] Es gibt ja bei Wikipedia ja tatsächlich eine Seite namens „Schwäbische Küche“, die ich bei der Korrektur dieses Textentwurfes dieses Blogbeitrag entdeckte.
[15] „Sauere Nierle“ findet man an Fasnacht noch relativ regelmäßig auf Speisekarten der „Wirtschaften“ in der Raumschaft Schramberg. Aber ansonsten, sind sie doch sehr selten auf Speisekarten in Südwestdeutschland zu finden, hingegen findet man „Rognons“ in Frankreich schon etwas öfter. Vor kurzem konnte jedoch im „Ochs & Schwan“ in Kirchheim an der Weinstraße vorzügliche Kalbsnieren in Cognacsrahm genießen, – hier ein Link zur Winterkarte 24/25.
[19] Einen solchen Heidelbeerkuchen, der sehr der elsässichen „Tarte aux Myrtilles“ ähnelt, mit selbstgepflückten Heidelbeeren vom Fohrenbühl gibt es im mehrfach in diesem Text erwähnten Adler auf dem Fohrenbühl.
[26] Eine sehr kompakte Darstellung der Geschichte findet man u.a. in dem Buch „Junghans. Uhren – Federn – Zünder ein Kaleidoskop“ von Gernot Stähle (2022). Eine Kurzrezension dieses Buches kann man hier in diesem Blog im Artikel „Blognotiz 24.11.2024: Worms im Nebelmeer“ finden.
[27] Mein Vater unterrichte Französisch, Geschichte und Politik am Gymnasium Schramberg. Meine Mutter leitete einen Kinderhort in Schramberg, – und war daneben sehr in der SPD sowohl landespolitisch als auch kommunalpolitisch aktiv.
[28] Schwäbisch „Vespern gehen“, – Abends in die Gastwirtschaft essen gehen,- und meist einen Wurstsalat, Bratwürste oder eine kalte Wurst bzw. Speckplatte verzehren.
[29] Irmgard Ströhle unterrichte Französisch und Geographie am Gymnasium Schramberg. Sie absolvierte zusammen mit meinem Vater das Referendariat am Seminar Rottweil. Sie war mit Karl Ströhle verheiratet, der am selbigen Gymnasium Mathematik und Physik unterrichtete. Ihn hatte es sozusagen von Laichingen von der „Alb ra“ nach Schramberg in den Schwarzwald geweht.
[31] Zur Bedeutung der Wirtschaft bzw. des Gasthauses für die Geschichte der Stadt Schramberg siehe u.a. auch Kohlmann Dieter (2024): Die Kindheitserinnerungen der Anna Braitsch – Zur Geschichte der Gastwirtschaft „Hammerhäusle“ im Stadtteil Höfle (1). In : D’Kräz, 44, 5- 19.
J’ai décidé d’ouvrir une nouvelle catégorie dans « paysages » – catégorie dans laquelle je réunis tous les articles qui sont ou été écrits sous l’emprise de la maladie de Mitterrand – le cancer de la prostate. En France, c’est mon impression, – on parle plus ouvertement du cancer de la prostate qu’en Allemagne. En Allemagne ce cancer est plutôt considéré comme un « stiller Krebs » – un cancer silencieux, – et j’ai l’impression que en terme de prévention en Allemagne on parle beaucoup plus du Cancer du sein et du Cancer colorectal. Même si globalement mes chances de guérison sont plutôt bonne, – la diagnose d’être atteint d’un cancer de la prostate a bouleversé ma vie. Peut être un jour j’écrierais aussi un livre comme le fit l’écrivain suisse alémanique Urs Faes. Dans « Halt auf Verlangen » (arrêt sur demande), livre malheureusement pas disponible en traduction française[1], l’auteur nous parle de sa confrontation avec la maladie de Mitterrand. Pour ainsi dire comme j’espère bientôt pouvoir reprendre mon travail de chercheur enseignant je reste donc au stade de catégorie de Blog ! Pour le livre on va attendre ma retraite professionnelle.
Comme les années précédentes[1], je publie une petite rétrospective de l’année 2024 du blog paysages présentant les billets les plus lus durant l’année 2024. Les 10 articles les plus lus (ou les plus visitées ou les plus cliquées – qui sait ?) de l’année 2024 se retrouvent dans le Tableau 1. Dans le Tableau 2 on retrouve l’origine géographique des lecteurs de paysages. Quelques changements par rapport à 2023, – par exemple l’article « 1949 – l‘incendie meurtrier dans la Forêt des Landes » qui était toujours dans les premier dix est relégué à la quinzième place. Paysages en plus semble de perdre de plus en plus de lecteurs français.
L’événement le plus marquant durant l’année 2024 au niveau personnel, – fut naturellement la maladie de Mitterrand – le cancer de la prostate – dont je parle à demi couvert dans le billet « Pensées pascales 2024 : Eloi, eloi, lamma sabacthani? » , ouvertement dans un billet écrit en français « Blognotice 02.06.2024 : « La promesse » d’Anne Lauvergeon » et finalement aussi dans un billet écrit en allemand « Wintersonnenwende 2024 ». Au niveau personnel durant l’année 2024 j’ai réalisé un rêve d’enfance – en m’achetant la 141R de Märklin[2].
Concernant l’année 2025 je crains que les ennemis de la liberté, de la démocratie libérale et de l’État de droit ont le vent en poupe. Pour l’Ukraine je crains le pire. Ils sont partout les Poutinistes, les Mumpistes, les Trumpistes[3]. Et n’oublions pas les Neobolcheviks à la sauce de Maduro. Et naturellement l’islamisme n’a pas disparu, n’a certainement dits son dernier mot. Et pour finir, – n’oublions pas les femmes afghanes, – que vivent déjà l’horreur au quotidien. Et l’antisémitisme ne va certainement pas disparaitre comme le rappelle Michel Wieviorka dans sa Tribune du 1 Janvier 2025 « La haine des juifs pourrait-elle animer un mouvement politique cohérent, comme hier le nazisme ? » publie dans le Monde.
Par contre au niveau personnel je suis plutôt optimiste – je viens de m’acheter la nouvelle « Flora Helvetica » en espérant de pouvoir rependre mes cours d’écologie de terrain & et de géobotanique au IFGG-KIT durant l’année 2025.
Tableau 1/Tabelle 1 : Les 10 articles les plus lus sur paysages en 2024/ Die 10 meistgelesenen Artikel im Paysagesblog im Jahre 2024
Rang
Pays/Land
%
1
Allemagne/Deutschland
68,244
2
USA
20,600
3
France/Frankreich
7,251
4
Suisse/Schweiz
0,443
5
Tunisie/Tunesien
0,360
6
Singapur
0,283
7
Canada/Kanada
0,277
8
Belgique/Belgien
0,238
9
Pays-Bas/ Niederlande
0,199
10
Espagne/Spanien
0,177
Tableau 2/Tabelle 2 : Provenance de géographique des lecteurs/lectrices de paysages en 2024/ Geographische Herkunft der Leser/innen des paysagesblog in 2024
Wie in den vergangenen Jahren veröffentliche ich einen kleinen Jahresrückblick auf das Jahr 2024 im Paysages Blog[4], in dem die am häufigsten gelesenen Beiträge des Jahres 2024 vorgestellt werden. Die 10 meistgelesenen (meistbesuchten oder meistgeklickten – wer weiß das schon?) Artikel des Jahres 2024 finden Sie in Tabelle 1. Tabelle 2 zeigt die geografische Herkunft der Leser des paysagesblog. Im Vergleich zu 2023 gab es einige Veränderungen: Der Artikel „1949 – l‘incendie meurtrier dans la Forêt des Landes“, der immer unter den ersten zehn war, ist auf den fünfzehnten Platz abgerutscht. Weiterhin scheint der Paysagesblog immer mehr Leser aus Frankreich zu verlieren.
Das einschneidendes Ereignis im Jahr 2024 auf persönlicher Ebene – war natürlich Mitterrands Krankheit, der Prostatakrebs, über den ich halb offen im Blogbeitrag „Pensées pascales 2024 : Eloi, eloi, lamma sabacthani?“ berichtet habe, letztendlich dann offen Blogbeitrag „Blognotice 02.06.2024 : « La promesse » d’Anne Lauvergeon“ auf Französisch und schließlich im Dezember auch in einem Blogbeitrag auf Deutsch „Wintersonnenwende 2024“ veröffentlicht. Persönlich habe ich mir im Jahr 2024 einen Kindheitstraum erfüllt – ich habe mir die 141R von Märklin gekauft[5].
In Bezug auf das Jahr 2025 befürchte ich, dass die Feinde der Freiheit, der liberalen Demokratie und der Rechtsstaatlichkeit auf dem Vormarsch sind. Für die Ukraine befürchte ich das Schlimmste. Sie sind überall, die Putinisten, die Mumpisten und die Trumpisten [6]. Und nicht zu vergessen die Neobolschewiken und Maduroanhänger. Und natürlich ist der Islamismus nicht verschwunden und hat sicherlich noch nicht sein letztes Wort gesprochen. Und zu guter Letzt – vergessen wir nicht die afghanischen Frauen, – die bereits täglich den Horror erleben. Und der Antisemitismus wird sicherlich nicht verschwinden, wie Michel Wieviorka in seiner in Le Monde veröffentlichten Tribune vom 1. Januar 2025 „La haine des juifs pourrait animer un mouvement politique cohérent, comme hier le nazisme?“ unlängst feststellte.
Hingegen bin ich was die persönliche Ebene betrifft, doch etwas optimistischer. So habe ich mir gerade die neue „Flora Helvetica“ gekauft und hoffe, dass ich meine Lehre in Feldökologie und Geobotanik am IFGG-KIT im Jahr 2025 wiederaufnehmen kann.
Blick auf den Windpark Dirmstein-Groß-Kleinniedesheim-Heuchelheim 22.12.2024
Gestern war der kürzeste Tag des Jahres, die Wintersonnenwende. Von nun an werden die Tage wieder länger und die Nächte kürzer. Es beginnt auch die Zeit der Raunächte. Urs Faes hat ein schönes Buch über die Raunächte im Kinzigtal verfasst, welches ich schon vor Jahren gelesen habe. Das Buch hatte mir damals gut gefallen, weil ich selbst biographische Verwurzelungen und Erinnerungen im Kinzigtal habe, und weil Faes da eine schöne Geschichte geschrieben hatte[1]. Urs Faes hat auch ein beeindruckendes Buch über seine Prostatakrebserkrankung und die daraus folgende Strahlentherapie verfasst. Halt auf Verlangen heißt dieses Fahrtenbuch durch die Erinnerung an frühere Lebenswelten, Kindheit, Jugend, Liebe, Alter, Krebs und Strahlentherapie[2]. Ich habe dieses Buch in diesem Herbst gelesen. Ich leide an der gleichen Krankheit wie Urs Faes , – ich nenne die Krankheit oft „la maladie de François Mitterrand – die Krankheit François Mitterrand[3]“ – aber im deutschsprachigen Raum können wohl nur Mitterrandexperten, Onkologen und Urologen damit etwas anfangen. Tatsächlich ist mir die Krankheit zum ersten Mal über den Weg gelaufen als man in Frankreich plötzlich über die zu Anfangs rätselhafte Krankheit des alten Präsidenten öffentlich diskutierte. Damals war ich noch ein junger Mann. Das mich dieser Krebs irgendwann selbst auch tangieren könnte, das konnte ich mir damals nicht vorstellen. Inzwischen habe ich die sechzig überschritten, – wobei ich die Diagnose schon mit neunundfünfzig Jahren erhielt. Laut dem „Leitlinien Programm Onkologie – Prostatakarzinom“ beträgt das „Mittel des Erkrankungsalters in Deutschland 72 Jahre“ (S.23)[4]. Ich gehe wahrscheinlich schon seit über zwanzig Jahren zum Urologen zur Prostatakrebsfrüherkennung. So wurde das Karzinom dann auch im Winter/Frühjahr 2024 entdeckt. Die Prognose ist an für sich gut, aber eine gute Prognose, verhindert auch keine Komplikationen. Strahlentherapie wie sie Urs Faes schildert, davon blieb ich erst mal verschont. Wie schon in der „Blognotice 20.10.2024 : Port Leucate octobre 2024“ beschrieben unterzog ich mich im letzten Sommer einer radikalen Prostatektomie. Sehr selten kann es zu nach einer radikalen Prostatektomie zu postoperativen Komplikation kommen. Das habe ich in den letzten Wochen erlebt. Mein Büro am IFGG – KIT habe ich seit Anfang November nicht mehr gesehen. Stationäre Aufenthalte am Klinikum Worms, wechselten sich mit Phasen im Krankenzimmer zuhause in Grünstadt ab. Zuhause in Grünstadt kann ich von unserem Balkon auf die Windräder in der Ferne am Horizont schauen. Ich habe die Windräder auch schon vor meiner Krankheit aus den verschiedenstem Blickwinkeln photographiert. Es handelt sich um die Windräder des „Windpark Dirmstein-Groß-/Kleinniedesheim-Heuchelheim“ die sich rund um die A 61 gruppieren. Es sind richtige Landschaftmarker geworden, man kann die Schatten der Windräder auch auf Googlearth erkennen. Das langsame Drehen der Räder im Wind, – erinnert mich manchmal an die klirrenden Fahnen in Hölderlins Gedicht „Hälfte des Lebens“. Seit ein paar Tagen habe ich das Gefühl, dass es wieder aufwärts geht. Ich denke auch an die Weihnachtszeit meiner Kindheit, aber das werde ich irgendwann in einem eigenen Beitrag beschreiben.
Ich stehe am offenen Fenster und beobachte das auf und ab der „Windflügel“ in der Ferne und rezitiere Hölderlins „Hälfte des Lebens“[5]. Ich halte es für einer der schönsten Gedichte der deutschen Sprache. Aber wer kennt heute noch Hölderlin ?
Hälfte des Lebens
Mit gelben Birnen hänget Und voll mit wilden Rosen Das Land in den See, Ihr holden Schwäne, Und trunken von Küssen Tunkt ihr das Haupt Ins heilignüchterne Wasser.
Weh mir, wo nehm’ ich, wenn Es Winter ist, die Blumen, und wo Den Sonnenschein, Und Schatten der Erde? Die Mauern stehn Sprachlos und kalt, im Winde Klirren die Fahnen. (Friedrich Hölderlin 1804)
Le vendredi 13.12.2024, – après une énième hospitalisation au Klinikum Worms, – due au traitement des suites de la maladie de Mitterrand[1], j’apprends que la France a par miracle un nouveau Premier ministre. C’est François Bayrou, qui a été choisi par Emanuel Marcon. Je me rappelle d’avoir lu en partie son ouvrage remarquable sur Henri IV, – « Henri IV, le Roi libre[2]» – le livre se trouvait dans la bibliothèque de ma grand mère à Aubord. Depuis, beaucoup de temps s’est écroulé et j’aimerais peut être de relire l’ouvrage, – mais malheureusement il n’y existe pas de version epub du livre, et comme ma bibliothèque personnelle manque de place[3], – la relecture du livre sur Henri IV devrait patienter jusque l’apparition d’une version epub de l’ouvrage. Peut- être les éditions Flammarion saisirons l’occasion pour préparer une version epub du livre !
C’est une tache difficile qui attend le nouveau Premier ministre. Difficile mais certainement pas impossible. S’il arrive à ficeler un budget pour 2025, – et si en plus il arrive de changer le mode de scrutin pour l’Assemblée Nationale, – proportionnelle sur liste régionale comme en Allemagne, il aurait déjà réussi beaucoup. J’ai un peu l’impression, que c’est un de rares hommes politiques en France, qui a réellement compris les règles du parlementarisme.
Et en plus naturellement, – en Syrie la chute de « Bachar Al-Assad – le Boucher de Damas » . Naturellement je me réjouis du départ du boucher de Damas vers son exile doré en Russie. J’espère que les Syriens auront la chance de se construire un avenir meilleur ! Mais je ne tombe pas dans l’euphorie générale, – peut être nous verrons naître une version light du salafisme, plus de droit pour les femmes qu’en Arabie saoudite, – les minorités christe et druzes etc. auront peut être un statut de « Dhimmis » en Syrie[4]. La guerre civile, la dictature des Assad fût un cauchemar pour l’humanité et au moins cela semble être fini. Au niveau analytique je me demande comment se fait il, – que le mouvement nationaliste laïque arabe, – le parti Baas a mis à la naissance deux famille de dictateurs sanglants, les Assad en Syrie, Saddam Hussein en Irak, qui étaient prêts à gazer leurs propres population. Enfin ces cauchemars semblent appartenir à l’histoire. Comme souvenir de cette période sinistre pour l’humanité il reste les livres sur la Syrie qui s’accumulent dans ma bibliothèque – en écrivant ces lignes par hasard j’attrape le livre « Syrie – Anatomie d’une guerre civile » édite par les éditions du CNRS en 2016. J’avais essayé de comprendre l’incompréhensible – mais en faite je n’ai fait que d’accumuler des livres dans ma bibliothèque sans trouver de réponse.
Et pour finir ce petit billet, – durant cette dernière hospitalisation j’ai commencé à découvrir l’Ouarsenis, les paysages de l’Oranais et les paysages intérieure d’ « Aube » une jeune coiffeuse d’Oran qui porte seule les souvenirs de années noires en Algérie. « Houris » roman à couper le souffle de Kamel Daoud[5].
Bibliographie
Bayrou, François (1994) : Henri IV, le Roi libre, Flammarion, 1994 (ISBN978-2-08066-821-9).