Lesenotizen zum Buch „Vom Bosporus zum Nesenbach – und zurück?“ von Ergun Can

Und wieder gibt es einen Neuzugang in der Schramberg-Abteilung meiner kleinen Privatbibliothek: ein kleines Büchlein, das den Titel „Vom Bosporus zum Nesenbach. Und zurück? Die Geschichte einer erfolgreichen Integration“ trägt. Es ist die Autobiographie des Diplom-Ingenieurs und Maskenschnitzers Ergun Can. Auch wenn es der Titel nicht vermuten lässt, handelt ein Großteil des Buches von Schramberg, denn der Verfasser verbrachte einen großen Teil seiner Kindheit und Jugendjahre in Schramberg im Schwarzwald. Das Buch legt Zeugnis ab über die erfolgreiche Integration eines sogenannten „Gastarbeiterkindes“ in die deutsche Nachkriegsgesellschaft.

Beim Lesen des Buches fragte ich mich immer wieder, warum man bisher keine Kritiken in den Feuilletons unserer überregionalen Tageszeitungen zu diesem Buch findet. Schließlich ist die Integrationsfrage eine der zentralen Fragen unserer heutigen Gesellschaft. Doch auch in der regionalen Presselandschaft Baden-Württembergs konnte ich keinerlei Rezensionen zu Ergun Cans Buch entdecken. Trotz aller Widrigkeiten und Widerstände hat es Ergun Can mit viel Fleiß und Hingabe geschafft, nicht nur Teil dieser deutschen Gesellschaft zu werden, ohne seine eigene Identität zu verleugnen, sondern durchaus auch als Vorbild zu dienen. Und fürwahr war dieser Weg nicht immer einfach für ihn. Darüber legt sein Buch ebenfalls Zeugnis ab.

Ich teile eine Gemeinsamkeit mit Ergun Can: Wie Can verbrachte ich große Teile meiner Kindheit und Jugendzeit in Schramberg. Das Buch erlaubt es einem, das Schramberg der 1960er und 1970er Jahre aus einem neuen, anderen und doch so bekannten Blickwinkel wieder neu zu entdecken. Ergun Can lernte bei Siegfried Schaub, dem Vater eines Klassenkameraden, das Maskenschnitzen. Inzwischen sind die Fasnetsmasken von Ergun Can Ausstellungstücke und Gegenstand wissenschaftlicher Abhandlungen (siehe u.a. Lixfeld 2024). Aber auch viele andere Namen aus Ergun Cans Schramberger Zeit sind für mich nicht unbekannt.

Natürlich geht es im Buch nicht nur um Integration, Schramberg und Fasnetsmasken, sondern auch um das langjährige Wirken von Ergun Can in der SPD. In diesem Sinne findet man im Buch von Ergun Can auch „Innenansichten“ zur Parteigeschichte der SPD des „Südweststaates“.

Ich habe das Buch gern gelesen. Besonders gefallen hat mir die Erwähnung des Ehepaars Otto und Inge Schütz und ihrer Kinder auf Seite 21. Wer erinnert sich in Schramberg noch an den Bankdirektor Schütz und seine Familie? Wie Ergun Can verbrachte ich einen Teil meiner Jugend mit den Kindern des Ehepaares Schütz, vor allem mit Thomas. Wobei das natürlich später war – da wohnten die Schützens, wie meine Eltern auch, oben auf dem „Sulgen“ im Lärchenweg. Die Familie Schütz war wirklich eine sehr weltoffene und gastfreundliche Familie.

Und dann gibt es noch etwas ganz Besonderes, das ich mit Ergun Can teile nämlich das Bekenntnis zum Schwäbischen[1]: Immer, wenn man mich fragt, woher ich komme, sage ich: aus Schramberg im Schwarzwald – dort, wo man inmitten von Schwarzwaldtannen immer noch echtes „Schwäbisch“ schwäzt[2].

Bibliographie

Can, Ergun (2025): Vom Bosporus zum Nesenbach. Und zurück? Die Geschichte einer erfolgreichen Integration. © 2025, R.G. Fischer Verlag Frankfurt am Main, ISBN 978-3-8301-9394-4

Frommer, Heike: „Gabel – çatal, Brot – ekmek, Teller – tabak.“ Familiensaga Can. In: Frommer, Heike/Mohn, Brigitte (Hg.): Zwischen zwei Welten. Gastarbeiterinnen und Gastarbeiter in Schramberg. Begleitbuch zum Forschungs-, Ausstellungs- und Mitmachprojekt des Stadtmuseums Schrambergs und des JUKS in Kooperation mit dem Eine-Welt-Forum Schramberg (= Schriften des Stadtmuseums Schramberg 24). Schramberg 2011, S. 28–37.

Lixfeld, Gisela: Ergun Can als Maskenschnitzer, in Landesmuseum Württemberg (2024), (Hrsg.): feld & wege: 100 Jahre Forschung und Dokumentation – von der Volkskunde zur Alltagskultur, Heidelberg: arthistoricum.net, 2024, S. 146–151. https://doi.org/10.11588/arthistoricum.1405.c20020          

Kowalski, Rebecca (2023): Tradition im Wandel? Die Schramberger Fasnet. In: HISTORISCHER AUGENBLICK, Blog des Instituts für Geschichtsdidaktik der Universität Tübingen.

Christophe Neff, Grünstadt 13.10.2025


[1]Ich habe über sechzig Jahre wieder und wieder das Lob erhalten, dass ich gut Deutsch spreche, »aber woher kommen Sie denn?«. Da erwidere ich stets gelassen, dass ich nicht gut Deutsch, sondern Schwäbisch spreche und aus Schramberg käme (Can, Ergun, 2025, S. 79)“.

[2] Zur Bedeutung des Schwäbischen beim Verfasser dieses Textes siehe u.a. „Schwäbisch – Französische Lesenotizen zu „Mein Schwaben“ von Vincent Klink“ .

La Marsa, le TGM et mes souvenirs tunisiens de Claudia Cardinale

Je me réveille tôt ce matin, sous une pluie battante. Il fait encore nuit quand j’apprends, dans Le Monde : « Claudia Cardinale, égérie du cinéma italien, est morte à l’âge de 87 ans. » Une partie de mon univers cinématographique s’éteint avec elle, mais ses œuvres et sa vie resteront à jamais gravées dans ma mémoire.

Je repense aux bruits sourds des premières motrices glissant sur les rails encore humides de la rosée nocturne, celles du TGM quittant La Marsa-Gare[1] en direction de Carthage, La Goulette, Tunis… Le jour se lève, et l’appel à la prière du matin résonne sur La Marsa et ses environs.

 Durant mes années tunisiennes[2], on pouvait encore çà et là, dans la rue ou dans certains cafés entre Tunis et La Marsa, entendre des bribes de mots siciliens ou italiens noyés dans des phrases aux résonances franco-arabes[3]. Ce monde disparu, on en retrouve l’écho dans « Un été à La Goulette » de Férid Boughedir, où Claudia Cardinale incarne son propre rôle.

C’est aussi durant mes années tunisiennes que j’avais pu observer Férid Boughedir et son équipe tourner le téléfilm « Villa Jasmin » – car plusieurs scènes du film ont été tournées à l’hôtel Sidi Bou Saïd, à Sidi Dhrif, où je séjournais habituellement pendant mes séjours en Tunisie. En écrivant ces lignes, je me demande si le journal « Il Corriere di Tunisi » existe encore : pendant mes années tunisiennes, cette voix italienne en Tunisie était encore présente.

En dehors de cette « séquence tunisienne » et de mes souvenirs très personnels, j’ajouterais que, jeune enseignant-chercheur à l’université de Mannheim, je tenais un cours sur les paysages méditerranéens, avec un chapitre analysant le rôle du paysage dans le cinéma, plus particulièrement les paysages dans le néoréalisme italien et au-delà… Dans ce chapitre, je parlais aussi de Rocco et ses frères, du Guepard de Luchino Visconti, de Claudia Cardinale et d’Alain Delon. Mais au-delà, il me reste le souvenir inoubliable de ses rôles dans « Il était une fois dans l’Ouest », « Fitzcarraldo [4]», « Mayrig » et « 588, rue Paradis ». Comme par coïncidence, dans mon dernier billet dans paysages, en partie consacré à l’œuvre de Werner Herzog, je parle aussi de Fitzcarraldo – qui reste l’un de mes films préférés depuis plus de 40 ans.

Le Monde vient de republier le remarquable entretien que Annik Cojean avait mené avec Claudia Cardinale, en mai 2017 : « Claudia Cardinale au « Monde » : « Ce métier m’aura offert une foule de vies »», où l’actrice évoque entre autre sa jeunesse française en Tunisie : « Oui. Mes ancêtres avaient quitté la Sicile pour la Tunisie, alors protectorat français. Et mes parents, comme moi-même, avons donc été élevés dans la langue française. J’ai eu beaucoup de chance, car ils formaient un couple éternel… Ma langue maternelle est le français… »

Ce petit billet de blog met en lumière la couverture de son livre « Ma Tunisie », une évocation à la fois cinématographique et nostalgique d’un monde méditerranéen aujourd’hui disparu. Je le conclus avec cette citation, extraite de l’ouvrage : « Un été à La Goulette en 1995. Je joue mon propre rôle. Ce tournage n’était pas prévu : de passage à Tunis, j’avais croisé le réalisateur Férid Boughedir, qui me demanda de faire une apparition dans le film. Il m’a convaincue. À Carthage, où avait lieu le tournage, il m’a fait une magnifique surprise : il m’a dit d’aller sur le balcon… et j’ai découvert toute la population de la ville réunie pour m’applaudir. C’est un souvenir fantastique, et un cadeau unique ! » (Cardinale, Claudia, 2009, p. 85).

Bibliographie :

Cardinale, Claudia (2004) : Du Lycée de Tunis à Hollywood. In : Tselikas, Effy & Hayoun, Lina (Eds.) : Les lycées français du soleil. Creusets cosmopolites du Maroc, de l’Algerie et de la Tunisie. Paris, les Éditions Autrement, ISBN 2-7467-0435-8, p. 201 – 207.

Cardinale, Claudia (2009) : Ma Tunisie. Boulogne sur Mer, 2009, Timée Éditions. ISBN 978-2-35401-082-9

Christophe Neff, écrit et publié à Grünstadt 24 Septembre 2025


[1] Gare aujourd’hui dénomme « La Marsa Plage »

[2] Voir aussi « Les belles de Tunis sont en deuil » et « Impressions du « Deuxième Symposium International de l’AGT : « Territoires, Changements globaux et Développement Durable», 12-17 novembre 2018, Hammamet –Tunisie » et naturellement « Villa Jasmin – quelques pensées personnelles en vagabondant sur le téléfilm de Férid Boughedir (PDF du Texte dans KITopen, DOI: 10.5445/IR/1000162896

[3] Cela ressemblait un peu a la  « chakchouka » de langues dont nous parle Claudia Cardinale dans le Chapitre « Du Lycée de Tunis à Hollywood » dans le livre les lycées français du soleil : « A` la maison,  nous parlions en français en mélangeant des mots d’arabe, d’hébreu, de sicilien une véritable chakchouka (Cardinal, C. 2004, p. 203)»

[4] Dans la nécrologie de Claudia Cardinale de Georg Seeßlen  « Sie war die Göttin der Zukunft  – Die Filme „Der Leopard“ und „Spiel mir das Lied vom Tod“ machten Claudia Cardinale unsterblich. Für Italien bedeutete die Schauspielerin aber noch viel mehr. Ein Nachruf» dans l’hebdomadaire allemand die Zeit les conditions de tournage difficile de Fitzcarraldo sont évoquées. Voir aussi la nécrologie de Christian Buß dans le Spiegel « Zum Tod von Claudia Cardinale Die größte Überlebenskünstlerin des europäischen Kinos In ihren Filmen erzählte sie von der Gewalt und der Ökonomie, denen der weibliche Körper ausgesetzt ist. Die Geschichte von Claudia Cardinale ist eine des Willens, der Würde und des Widerstands. »

Blognotiz 19.09.2025: Spätsommer & Herbstfahrten durch die Frankenthaler Terrasse – Windenergielandschaften und Radiobegegnung mit Werner Herzogs „paysages intérieures“

Blick auf den Windpark Dirmstein-Groß-Kleinniedesheim-Heuchelheim, © Christophe Neff 19.09.2025

Ich fahre, wie so oft, nach Frankenthal an den Bahnhof, um jemanden aus der Familie abzuholen. Angesichts der „Kettenverspätungen“ der Bahn ist das Umsteigen in die Regionalbahn nach Grünstadt in Frankenthal ein richtiges Glücksspiel – und wenn man Pech hat, wartet man eben „ewig“ auf den nächsten Anschluss. Diesmal hole ich meine Schwägerin und ihren Ehemann ab. Sie leben eigentlich in einem französischsprachigen Land, wo die Züge in der Regel pünktlich sind. Diesmal kommen sie jedoch aus dem Norden, aus der Hansestadt Hamburg, und haben bereits mehr als zwei Stunden Verspätung, als ich ins Auto steige.

Im Radio läuft auf SWR Kultur die Sendung „Der Soldat des Kinos – Ehrenlöwe für Werner Herzog“, ein SWR-Kultur-Forum unter anderem mit Rüdiger Suchsland als Mitdiskutant[1]. Suchsland ist so etwas wie der „Monsieur Cinéma“ des Südwestrundfunks. Früher, in meiner Jugend, war das Herbert Spaich. In meiner Oberstufenzeit weckte mich das Radio – mein damaliger Lieblingssender SWF3 – mit den Filmtipps von Herbert Spaich oder mit Gisela Eberles Gesundheitsansprache „Guten Morgen – positiv sollen Sie den Tag beginnen“. Irgendwann begann ich dann auch aufzustehen und lief dann das „Steighäusle“ vom Sulgen hinab in die Talstadt zur Schule ins Gymnasium Schramberg um dort irgendwann nach Schulbeginn auch anzukommen. Das war noch die Zeit, als der kürzlich verstorbene Frank Laufenberg den „Popshop“ in SWF3 moderierte.

Ich war damals – wie auch später während meines Studiums – ein richtiger Cineast, ein Kinogänger, der ein- bis zweimal pro Woche ins Kino ging. Lange Zeit war Fitzcarraldo einer meiner Lieblingsfilme, vielleicht ist er es sogar immer noch. Für „Fitzcarraldo“ bin ich sogar mit dem Fahrrad von Schramberg nach Paris gefahren[2]. Das ist lange her, und im Kino war ich seitdem Abschluss des Studiums nur noch selten. Zuletzt sah ich Anselm – Das Rauschen der Zeit von Wim Wenders und viele Jahre zuvor Die andere Heimat – Chronik einer Sehnsucht von Edgar Reitz, Film in dem Werner Herzog in einer Gastrolle den Alexander von Humboldt spielt.

In Grünstadt gibt es zwar einen sehr schönen Kinokomplex, „die Filmwelt Grünstadt“, doch meistens wird nichts gezeigt, das meinem Filmgeschmack entspricht. Filme in Originalfassung gibt es so gut wie nie. Im letzten Frühjahr hätte ich mir gerne das Original des brasilianischen oscarprämierten Films Ainda Estou Aqui (Für immer hier) angeschaut. Er wurde tatsächlich in einem Mainzer Kino gezeigt, doch die Komplikationen, die mit der „maladie de Mitterrand“ verbunden waren, verhinderten diese Kinofahrt nach Mainz. Kinofilme sehe ich mir meistens später im Fernsehen an – in den meisten Fällen auf Arte oder, wie zuletzt im ZDF, „An einem Tag im September“. Dieser Spielfilm berührt in gewisser Hinsicht meine eigene deutsch-französische Familiengeschichte[3].

Mein Fahrtweg ist gesäumt von Windkraftanlagen. Wegen der Komplikationen mit der „maladie de Mitterrand“ beschränkt sich mein aktueller räumlicher Radius auf Fahrten ans Klinikum Worms oder auf „familiäre Taxifahrten“ von oder zum Frankenthaler Hauptbahnhof. Die Landschaft, die ich durchquere, gehört laut der „Naturräumlichen Gliederung Deutschlands“ zur „Frankenthaler Terrasse“. Wie beim „Unterem Pfrimmhügelland“ gibt es auch hier keinen Wikipedia-Artikel über diesen Naturraum[4]. Die Funktionsweise eines Naturraums hat in Deutschland kaum noch gesellschaftliche Relevanz. Sonderbarerweise berufen sich die Proteste gegen den geplanten Windpark bei Dirmstein genau auf den Schutz des Naturraums zwischen Obersülzen und Dirmstein[5].

Das Windrad ist zum Symbol des Landschaftswandels, aber auch zum Symbol für „Nutzungskonflikte“ in der Landschaft Mitteleuropas geworden. Nicht umsonst ziert das Buchcover der Zweitauflage von „La théorie du paysage en France“von Alain Roger das Foto eines Windrads. Als ich mich vor Jahrzehnten auf der „Frankenthaler Terrasse“ in Richtung Grünstadt bewegte, konnte man nachts die hellerleuchtete amerikanische Raketenstellung auf dem Quirnheimer Berg sehen[6]. Die Raketenstellung ist verschwunden – nun leuchten dort nachts die Positionsleuchten der Windräder.

Blick auf Bockenheim und den Quirnheimer Berg mit Windkraftwerken, – dort befand sich im kalten Krieg die US-Raketenstellung, © Christophe Neff 19.09.2025

Meine Schwägerin bemerkt während der Autofahrt nach Frankenthal, dass sie das Gefühl habe, es gebe bei jeder Reise nach Grünstadt mehr Windräder. Sie wüchsen förmlich wie Pilze aus der Landschaft. Ich pflichte ihr bei und sage: „Ja, das Gefühl ist bestimmt nicht ganz falsch.“ Gleichzeitig weise ich darauf hin, dass man Energie nicht zum umweltpolitischen Nulltarif bekommt – und Energie verbrauchen wir alle. Doch meine Schwägerin hat nicht unrecht: Die Windräder sind längst zu einem markanten Landschaftelement geworden. Zwischen Grünstadt und Frankenthal sieht man sie überall – in der Nähe und in der Ferne. Man kann ihnen visuell kaum noch ausweichen.

Ich denke an Werner Herzog und versuche mir vorzustellen, wie ein Film von ihm über Windkraft und Windkraftlandschaften aussehen würde. Weltweite Windenergielandschaften aus Herzogs filmischer Erzählperspektive. Tatsächlich gibt es eine wissenschaftliche Arbeit über die Landschaften im Werk Werner Herzogs: „Les paysages intérieurs de Werner Herzog“, eine französische Abschlussarbeit von Manon Levet im Fach Kunstgeschichte, die man im „Halopenarchive“ finden und herunterladen kann. Dass diese Arbeit in Frankreich verfasst wurde, wundert mich nicht. Ich habe den Eindruck, dass Herzogs künstlerisches Werk dort erheblich mehr gewürdigt wird als in Deutschland.

In diesem Sommer gab es im „Le Monde“ eine lesenswerte Sommerserie über das Leben von Isabelle Adjani[7] – und darin war eine Episode dem Film „Nosferatu – Phantom der Nacht“ und den Dreharbeiten mit Werner Herzog und Klaus Kinski gewidmet. Auch in diesem Blog verfasste ich bereits einen Beitrag über einen Herzog-Film auf Französisch: „Souvenirs d’une soirée de samedi passé devant le petit écran : Au cœur des volcans, requiem pour Katia et Maurice Krafft, documentaire de Werner Herzog“. In Frankreich genießt Herzog doch ein anderes Renommee als in Deutschland. Ich glaube hierzulande ist er nur noch ein „Geheimtipp“ für eingefleischte Cineasten und Boomer. In der Generation meiner Kinder, oder auch bei meinen Studierenden, kennt ihn wohl kaum noch jemand.

Werner Herzog hat auch eine bemerkenswerte Autobiographie verfasst: „Jeder für sich und Gott gegen alle. Erinnerungen“. Als ich mit meiner Schwägerin und meinem Schwager an den Windrädern entlang durch die „Frankenthaler Terrasse“ nach Grünstadt fuhr, hatte ich gerade mit der Lektüre dieses Buches begonnen. Inzwischen weiß ich: Wer mehr über die „paysages intérieures“, also die inneren Landschaften Werner Herzogs, erfahren möchte – und darüber hinaus ein vollständiges Werkverzeichnis (Filmographie, Operninszenierungen) sucht –, der sollte dieses Buch lesen. Ich erlaube mir daraus die letzten Sätze zu zitieren „An ihrem Fuß ist sie achtundzwanzig Meter dick und aus besonders gehärtetem Stahlbeton gegossen. Dieser untere Teil stünde noch mit an Sicherheit grenzende Wahrscheinlichkeit, majestätisch, ohne etwas verkünden zu können, keine Botschaft an niemanden. Dort am Fuß der glatten Betonwand, gäbe es kristallklares Sickerwasser aus den Felsen zur Seite, aufgesucht von Rudeln von Hirschen, als wäre (Herzog, Werner: 2022, p. 329)“

Quellen und Bibliographie:

  • Herzog, Werner (2022): „Jeder für sich und Gott gegen alle. Erinnerungen“. München, 5. Auflage 2022, © Carl Hanser Verlag GmbH & Co. KG, ISBN 978-3-446-27561-4.
  • Levet, Manon (2016): „Les paysages intérieurs de Werner Herzog“. Art et histoire de l’art. HAL Id: dumas-01438354
  • Roger, Alain (Hrsg.) (2009): „La théorie du paysage en France : 1974–1994“ (Réédition). Seyssel: Champ Vallon, ISBN 978-2-87673-508-8.

Nachwort zur Texterstellung

Den vorliegenden Text entwarf ich am 28.08.2025 bei der familiären Taxifahrt Grünstadt- Frankenthal HBF- Grünstadt im Auto und speicherte es als Gedächtnisprotokoll ab. Die Niederschrift fand dann im Laufe des Septembers statt. Photos von den Windrädern des Windpark „Dirmstein-Groß-Kleinniedesheim-Heuchelheim“ sind auch in den Beiträgen „Wintersonnenwende 2024“ und „Blognotice 11.01.2022 : les liens perdus du blog paysages“ zu finden. Man kann die Windräder dieses „Windparkes“ von erhöhten Standorten in Grünstadt sehr gut sehen. Tatsächlich bin ich die „Wegstrecke“ Grünstadt – Frankenthal HBF – Grünstadt so oft gefahren, dass ich fast jeden Baum und Busch am Wegerand dort kenne. Die gartenflüchtige Pallisadenwolfsmilch (Euphorbia characias)[8] am Straßenrand in Dirmstein, der Mandelbaum in Obersülzen auf dem die Halsbandsittiche sich verpflegen und rasten[9], den Paradiesvogelbaum in Dirmstein der im Spätsommer & Herbst blüht[10].

Photo: © Christophe Neff 19.09.2025

Christophe Neff, Grünstadt August/September 2025


[1] Siehe : „ Der Soldat des Kinos – Ehrenlöwe für Werner Herzog, Karsten Umlauf diskutiert mit Dr. Kristina Jaspers, Kuratorin, Deutsche Kinemathek Berlin, Rüdiger Suchsland, Filmkritiker Prof. Dr. Marcus Stiglegger, Filmwissenschaftler. Forum, Sendung vom 28.08.2025

[2] Siehe u.a.  « De Schramberg à Paris en vélo – souvenirs de ma première rencontre avec « Notre – Dame de Paris » sowie « Mit Thomas E. Schmidt die Bundesrepublik der Babyboomer bereisen »

[3] Siehe u.a. „Ein persönlicher Rückblick auf sechzig Jahre Élysée-Vertrag“und « Blognotice 22.01.2013: pensées personnelles franco-allemandes sur le cinquantième anniversaire du Traité de l’Elysée »

[4] Siehe u.a. „Das Pfrimmhügelland: Von Weinbergen, Windrädern und Bauernkriegen: Eine Landschaft im Wandel – eine persönliche Blognotiz

[5] Zum geplanten Windpark Dirmstein siehe u.a. „Windpark Dirmstein – Ein Projekt von BayWa r.e.“ (Webpräsenz des Projektbetreibers)

[6] « Launching Area Quirnheim » dazu u.a. mehr in „Quirnheim – ehem. Atomwaffenstandort, Deutschland“ in Webpräsenz Atomwaffen  A – Z.

[7] Le Monde « Séries d’été, Isabelle Adjani, célèbre inconnue – Malgré ses quarante-cinq films, ses quinze pièces de théâtre et ses cinq Césars, la star du cinéma français reste une énigme. » Samuel Blumenfeld, August 2025.

[8] Siehe Inaturalist Beobachtung 276494790

[9] Siehe Inaturalist Beobachtung 315026479

[10] Siehe Inaturalist Beobachtung 314994187

Blognotice 31.08.2025 : les Sternbergia lutea en fleurs, l’automne approche

Sternbergia lutea, Grünstadt, © Christophe Neff, 31.08.2025

Depuis quelques jours, les Sternbergia lutea — aussi dénommées Sternbergia jaune ou Crocus d’automne — ont commencé à fleurir chez moi, à Grünstadt, dans l’Unterhaardt. En fait, j’ai planté il y a plus d’une dizaine d’années quelques bulbes de Sternbergia lutea dans mon jardin, et depuis, ils se sont disséminés un peu partout[1]. Ainsi, de début septembre à début novembre, on trouve toujours ici et là une touffe de Sternbergia lutea, qui embellit les couleurs de l’automne dans les environs proches

L’été se termine doucement, et l’automne commence. L’un des livres qui m’a accompagné pendant une grande partie de l’été fut certainement le Dictionnaire amoureux de Pouchkine d’André Markowicz. Quelle lecture ! Pierre Assouline en a déjà écrit une remarquable critique sous le titre « Pouchkine, c’est la Russie », et en effet, presque tout est dit sur le livre[2]. Je n’ai donc pas grand-chose à y ajouter. Markowicz nous étale un immense panorama — un paysage littéraire, une immense géographie littéraire de la « Russie éternelle ». On y retrouve aussi bien les décabristes, Nicolas Ier de Russie ainsi que la Russie du nouveau tsar Vladimir Poutine, et même les Moroschkas ont eu droit à un petit chapitre.

J’avais déjà comparé le tsar Poutine à Nicolas Ier de Russie dans un billet écrit en décembre 2013 (« Blognotice 22.12.2013 : De Dostoïevski à Mikhaïl Khodorkovski »). Après la lecture de l’ouvrage de Markowicz sur Pouchkine, je pense ne pas m’être trompé avec cette comparaison osée écrite en décembre 2013. En lisant André Markowicz, j’ai souvent eu l’impression que la « Russie profonde », depuis la mort de Pouchkine, ne semble pas avoir beaucoup changé : censure, déportation en Sibérie, guerres permanentes — tous les fléaux du règne de Nicolas Ier de Russie sont de nouveau en vogue dans la Russie poutinienne.

On apprend aussi beaucoup sur l’auteur, André Markowicz : ses traductions littéraires, son parcours de traducteur. Et surtout, ce livre le « Dictionnaire amoureux de Pouchkine » est un jardin merveilleux dans lequel Andre Markowicz nous invite à découvrir, à redécouvrir les vers et poèmes de l’œuvre de Alexandre Pouchkine.

Bibliographie :

Markowicz, André (2025) : Dictionnaire amoureux de Pouchkine. Dessins d‘ Alain Bouldouyre d’apres Alexandre Pouchkine. Paris, 2025 , © Éditions Plon, un département de Place des Éditeurs, 2025, ISBN 978-2-259-31829-7

Photo: © Christophe Neff, 31.08.2025

Christophe Neff, Grünstadt 31.08.2025


[1] Voir Observation Inaturalist « Sternbergia lutea Herbst-Goldbecher, Observation 310167906 »

[2] Voir aussi « Blognotice 22.06.2025: canicule et Fête de la musique & Dictionnaire amoureux de Pouchkine »

Blognotiz 24.08.2025: Insomnialektüren und Déesse

Irgendwann in dieser Sommerwoche, wachte ich mitten in der Nacht auf und entdeckte den neuesten Beitrag in Schneckinternational – „Agde – Aout“. Wenn ich mal schlecht schlafe, was Gott sei Dank selten vorkommt, lese ich oder schaue aus meinem Schreibzimmer und betrachte den Nachthimmel. Sebastian Rogler schreibt in „„Agde – Aout“ über seine Ferieneindrücke in der Stadt Agde welche an der Mündung des Flusses Herault ins Mittelmeer liegt. Ein alter Citroën Bx fungiert als Titelbild und erinnert mich daran, dass ich irgendwann mal etwas über meine „Autos“ in paysages schreiben wollte. Also über die Autos die ich in meinem Leben schon gefahren habe und die dann auch Teil meines Lebens wurden. Hier in Grünstadt begegnet mir ab und zu eine alte „Déesse[1]“. Sie parkt öfter gar nicht so weit weg von meiner Schreibstube entfernt, quasi fußläufig in wenigen Minuten erreichbar. Sollte ich jemals einen größeren Betrag im Lotto gewinnen, würde ich mir auch so eine „Déesse“ kaufen wollen. Einfach so um durch die Landschaft zu fahren, durch Weinberge und Wälder. Aber dazu müsste man auch erst einmal Lotto spielen.

Ergänzend zu seinem Blogbeitrag hat S. Rogler auch in Facebook noch eine paar Urlausbsbilder aus Agde und Umgebung in veröffentlicht. Besonders beeindruckend ist das Photo „n’oublions jamais le progrom du 7 octobre 2023[2]. Ich bin mir nicht sicher, aber das müsste das « Hôtel de Ville » also das Rathaus des benachbarten  Béziers sein. Da kann man gemütlich mit den „Schiff“ auf dem Canal du Midi von Agde nach Béziers fahren. Oder mit dem Fahrrad entlang des alten Treidelsweges am Kanal entlang unter Platanen und Pinien die Landschaft zwischen beiden Städten erkunden.

Sebastian Rogler ist auch so ein „alter Blogger“ wie ich selbst  – er führt seinen Blog schon seit 2006, also seit bald zwanzig Jahren. Damit exitiert „Schneckinternational“ schon drei Jahre länger als das  Paysages Blog[3]. Das hat in unserer Zeit, in der fast nur noch über soziale Netzwerke kommuniziert wird „Seltenheitswert“ bzw. ist schon ein „Alleinstellungsmerkmal“. Vielleicht sollte Sebastian die Texte aus seinem Blog zu einem Buch machen. Ein Buch in dem man hier und da auch eines seiner Bilder und Photos abgedruckt findet. Ähnliches hat ja „Joe Bauer[4]“ auch mit seinen „Depeschen“ und „Kolumnen“ gemacht und diese u.a. im Buch „Einstein am Stuttgartstrand – Beobachtungen eines Stadtspaziergängers“ veröffentlicht. Den „Einstein am Stuttgartstrand“ habe ich durch eine Buchkritik von Julia Schröder im Radio entdeckt und anschließend mit Gewinn gelesen[5]. Am 4. September 2026, also in einem Jahr und ein paar Tagen wird Schneckinternational zwanzig Jahre alt – der Blog startete mit dem Beitrag „Schuhe“. Das wäre doch Anlass genug, ein schönes Buch aus den lesenswerten Texten von Sebastian Rogler zu machen. Ich wäre bestimmt Käufer und Leser eines solchen Buches.

Bibliographie:

Bauer, Joe (2024): Einstein am Stuttgartstrand. Beobachtungen eines Stadtspaziergängers. Berlin : edition TIAMAT, © Verlag Klaus Bittermann 2024, Critica Diabolis, 333 ISBN 978-3- 893-20-320-8

Christophe Neff, Grünstadt 24.08.2028


[1] Déesse (franz. Göttin) so wird im Französichen oft die Citroën DS bezeichnet.

[2] Zum 7 Oktober 2023 siehe u.a. „Souvenirs des chants d’Israël, « La Caravane des Cavaliers  (Chayreth Harochvim) »“  und „Paysages: Retour sur le 07 octobre 2023 –  „Stand with Israel!““. Im letzteren Beitrag findet sich auch ein Photo eines Bildes von Sebastian Rogler.

[3] Den Paysagesblog gibt es nun schon seit 16 Jahren. Siehe auch « Paysages – seizième année d’existence sur la toile donc déjà six ans sur wordpress.com (billet trilingues français, allemand, anglais) »

[4] Webpräsenz von Joe Bauer.

[5] Siehe u.a. „Buchkritik Joe Bauer – Einstein am Stuttgartstrand. SWRKultur Julia Schröder Buchkritik“, SWRKultur, 3.2.2025.

Das Pfrimmhügelland: Von Weinbergen, Windrädern und Bauernkriegen: Eine Landschaft im Wandel – eine persönliche Blognotiz

Blick auf die Pfeddersheimer Bluthohl, © Christophe Neff, 14.08.2025

Fahrtpause – meine regelmäßigen Fahrten ans Klinikum Worms werden sofern nicht wieder unvorhergesehene Komplikationen auftreten, für einige Wochen pausieren. Im späten Herbst wird es wieder soweit sein und ich werde meine Fahrten dorthin fortsetzen. Die Rebhänge werden ihr Laub verloren haben und die Herbstnebel werden vom Rhein aus das Pfrimmtal „fluten“ und ich werde wieder den Weg nach Worms zur „Tumornachsorge“ antreten[1]. Was die postoperativen Komplikationen betrifft, bin ich ja ein „gebranntes Kind“, aber letztlich gehört das eben auch zum Krankheitsbild der „Maladie de Mitterrand[2].

Vor der saisonalen Fahrtpause bin ich dann auch doch nochmals zweimal durch die „Pfeddersheimer Bluthohl“ gefahren und habe dort dann auch ein paar Bilder gemacht. Durch die geschichtsträchtige „Pfeddersheimer Bluthohl“ wollte ich ja schon längst gefahren sein, aber letztlich habe ich dies erst diese Woche verwirklicht [3] .

Man könnte auch vom Klinikum Worms direkt dorthin laufen – es ist eigentlich nur ein etwas längerer Spaziergang. Kürzere Spaziergänge habe ich ja schon einige rund um das Klinikum gemacht. Dabei habe ich am Rand eines Weinbergs einmal im März 2017 ein kleines, spontanes Vorkommen des Balkan-Windröschens (Anemone blanda) entdeckt[4]. Allerdings ist dieses Vorkommen am Fundort inzwischen verschwunden.

Was mich etwas wundert, ist, dass es über die Bluthohl keinen eigenen Wikipedia-Artikel gibt, – man findet nur eine kleine Notiz über die Bluthohl im deutschsprachigen Wikipedia-Artikel über die Schlacht bei Pfeddersheim. Genau so erstaunlich finde ich es, dass es über die Landschaftseinheit „227.51 Unteres Pfrimmhügelland[5]“, – also eine Untergliederung der ursprünglichen Naturräumlichen Gliederung Deutschlands die man heute „Naturräumliche Großregionen Deutschlands“ bezeichnet, auch keinen Wikipedia-Artikel gibt. Über die nicht weit davon entfernte „Unterhaardt“ (220.0 Unterhaardt), in der ich selbst lebe hatte ich vor Jahren mal einen Wikipedia-Artikel angelegt.

Bluthohl Ortseingang Pfeddersheim, © Christophe Neff, 14.08.2025

Als ich vor ein paar Tagen beim ersten Mal von Mörstadt kommend durch die Bluthohl fuhr begegnete ich bei der Posthohl einem Schwarm Bienenfresser und später sah ich die orangenen Fahnen die Bluthohl säumen. Fahnen die an die Schlacht von Pfeddersheim vor fünfhundert Jahren hier auf diesem Lössriedel, der durch den Hohlweg von Mörstadt nach Pfeddersheim von Nord nach Süd getrennt wird, erinnern sollen. Blutrot das Relief des mittelalterlichen  Pfeddersheim, schwarze und roten Sensen, in der schwarze Sense ist wohl auch ein Bundschuh zu sehen – das meine ich auf den Fahnen erkennen zu können. Auch vom Auto aus. Ich musste dabei auch an Historikerin Lyndal Roper denken als ich die Fahnen sah. Lyndal Roper hat ja einen Großteil der historischen Wirkungsstätten des Bauernkriegs mit dem „Fahrrad“ erkundet und so die historischen Landschaften des Bauernkrieges regelrecht „begriffen“. Ich hatte im vergangenen Herbst ja eine recht interessante Radiosendung über Roper und mir ihr in SWRKultur gehört[6]. Irgendwann wollte ich eigentlich ihr Buch über den Bauernkrieg lesen, – aber ich konnte mich nicht entscheiden ob ich das englische Original oder die deutschsprachige Übersetzung lesen sollte. Da ich diese Woche ja mehrere Termine im Klinikum Worms hatte, bin ich dann nochmals durch die Bluthohl gefahren, – diesmal hatte ich meine kleine Arbeitskamera dabei, eine Panasonic DMC-TZ71 Reisekamera mit Leica-Objektiv, die meines Erachtens immer noch bessere Bilder liefert als meine Smartphone-Kamera. Die Bienenfresser sind verschwunden, aber bei meiner kleinen Photoerkundung, begegneten mir einige Halsbandsittiche. Diesen grünen Vögel kann man ja auch rund ums Klinikum Worms begegnen.

Pfeddersheimer Bluthohl Denkmal, © Christophe Neff, 14.08.2025

Am Ortseingang von Pfeddersheim gibt es auch einen Gedenkstein, der an den Bauernkrieg und die Schlacht von Pfeddersheim erinnert. Auf einer kleinen Tafel findet man folgende Inschrift „Gedenkstein zur Erinnerung an die Bauernschlacht bei Peffedersheim am 23/24. Juni 1525. Im Kampf gegen das Heer der Fürsten um mehr Freiheiten und Rechte verloren im Bereich dieses Standortes mehrere tausend Bauern ihr Leben. Der ansteigende Hohlweg wird daher im Volksmund noch immer als Bluthohl bezeichnet. Errichtet im Juni 2000 vom Arbeitskreis für Kultur – Landschaftpflege Wo.-Pfeddersheim. Entwurf und Gestaltung Simon Knab. Pfeddersheim. Unterstützt vom Bauern und Winzernverein Pfeddersheim, Interessengemeinschaft Pfeddersheimer Winzer, Gisela Katzenwadel-Hils, Stergios Molotsios, Stiftung Rheinland-Pfalz für Kultur, sowie zahlreichen Firmen und Pfeddersheimer Mitbürgern“.  Vom Gedenkstein kann man nach Westen auf den Hohlweg der sich sich durch den Lößriedel nach Mörstadt erstreckt blicken, in der Ferne sieht die Flügel von Windrädern drehen. Der Hohlweg wird links und rechts von den gelben Erinnerungsfahnen gesäumt. Man schließt die Augen und hört die Schreie der Verwundeten, das Wehklagen der Sterbenden, – und sieht das Blut der Gefallenen durch den Hohlweg auf einen zukommen. Tausende Bauern sollen dort gefallen sein. Eigentlich weiß ich viel zu wenig über den Bauernkrieg. Das Buch von Lyndal Roper über den Bauernkrieg sollte ich schon eines Tages lesen. Die gelben Fahnen die den „Hohlweg“ nach Mörstadt säumen und an die Opfer der Schlacht von Pfeddersheim erinnern sollen, halte ich für sehr gelungen. Ich überlege mir auch ob die Flurbezeichnung „an der Stahlgasse“ etwas mit dem Bauernkrieg zu tun hat, oder ob diese Flurbezeichnung einen anderen historischen Hintergrund hat. Im Sommer des Jahres 2025 sind es die Windräder, die gelben Fahnen  die an die Schlacht von Pfeddersheim erinnern und das „Rebenmeer“ , die eindeutig die Landschaft des „unteren Pfrimmhügelland“ zwischen Worms und Monsheims prägen.

Pfeddersheimer Bluthohl, Blickrichtung Mörstadt mit Windkraftwerk, © Christophe Neff, 14.08.2025

Welche Landschaft wird den interessierten Betrachter dort auf den Lössriedel zwischen Worms und Monsheim in fünfhundert Jahren erwarten? Wird es noch Weinbau geben? Was wird wohl aus den zahlreichen Windrädern werden? Und wer wird sich noch tausend Jahre nach der Schlacht von Pfeddersheim an den Bauernkrieg erinnern – an die vielen Tausenden, die hier auf den Lößriedeln westlich und östlich der „Pfeddersheimer Bluthohl“ ihr Leben ließen, weil sie auf ein besseres Leben mit etwas mehr Freiheit hofften ?

Bibliographie:

Obwohl ich das Buch bis her nie in der Hand hatte, hier anbei die Bibliographischen Angaben des  Buches von Lyndal Roper „Für die Freiheit: der Bauernkrieg“. Wobei mir der englische Originaltitel des Buches weit besser gefällt – „Summer of Fire and Blood – The German Peasants‘ War“.

Roper, Lyndal (2024): Für die Freiheit : der Bauernkrieg 1525 / Lyndal Roper ; aus dem Englischen von Holger Fock und Sabine Müller. S. Fischer Verlag. ISBN 978-3-10-397475-1

Roper, Lyndal (2025): Summer of fire and blood : the German Peasants‘ War. London, Basic Books, ISBN 978-1-3998-1802-5

Photos: © Christophe Neff, 14.08.2025

Christophe Neff, Grünstadt August 2025 (15.08.2025)

P.S. (16.08.2025): Die im Text erwähnten Fahnen sowie der „Gedenkstein zur Erinnerung an die Bauernschlacht“ (s. o. im Fließtext) wurden von Simon Knab, dem stellvertretenden Vorsitzender der Kulturinitiative Pfeddersheim, entworfen.


[1] Siehe auch „Blognotiz 24.11.2024: Worms im Nebelmeer

[2] Siehe auch « Cahiers de maladie (Cancer de la prostate) » und « Wintersonnenwende 2024 »

[3] Siehe auch „Blognotiz 31.07.2025: der Juli geht zu Ende und die Mauersegler sind schon fortgezogen“.

[4] Im Frühjahr 2017 war ich zur Behandlung der Folgen eines kryptogenen Schlaganfalls im Klinikum Worms untergebracht , siehe u.a. auch „Blognotice 17.03.2017: Il y avait une fois un train direct Worms – Paris via la Zellertalbahn“.

[5] Siehe auch „227.51 Unteres Pfrimmhügelland“, Landschaften in Rheinland-Pfalz, Ministerium für Klimaschutz, Umwelt, Energie und Mobilität.

[6] Siehe „Lyndal Roper – Für die Freiheit. Der Bauernkrieg 1525“, SWRKultur Gespräch, 22.11.2024

Blognotiz 31.07.2025: der Juli geht zu Ende und die Mauersegler sind schon fortgezogen

Der Juli geht zu Ende. Die Mauersegler haben Grünstadt auch schon verlassen. Ich beobachte die Segler schon seit Coronazeiten, nicht nur die Mauersegler, sondern alle Vögel die über dem Stadthimmel von Grünstadt die ich eindeutig erkennen kann. Aber die Präsenz der Mauersegler in Grünstadt verleitete mich dazu, eine Art täglicher Vogelliste zu führen. Ich führe sie noch heute und weiß daher recht genau, in welchem Zeitraum die Mauersegler den Grünstadter Himmel bevölkern. Aus meinem Interesse an den „Seglern“ habe ich mir in dieser „Mauerseglersaison“ das schöne und auch sehr informative Buch „Mauer- und Alpensegler“ von Alfred Engler gekauft[1]. Die letzten Mauersegler im Grünstadter Stadthimmel in diesem Jahr 2025 habe ich dann auch am Montag den 29.07.2025 beobachtet. Wahrscheinlich wird man in diesem Jahr hier in Grünstadt keine Mauersegler mehr sehen.

Den Fortgang der Jahreszeiten kann ich auch auf meinen regelmäßigen Fahrten ins Klinikum Worms beobachten. Die Maladie de Mitterrand[2] und die ganzen Komplikationen, die sich aus der Behandlung dieser Krankheit ergeben, bedingen es, dass ich regelmäßig dorthin ins Klinikum fahre. Mit dem Auto kann man die Strecke bequem „erledigen“, wenn sein muss auch mehrmals am Tag. Meistens fahre ich über Pfeddersheim durchs Pfrimmtal, manchmal auch „außenherum“ über Flörsheim-Dalsheim. Wenn ich eine „GoPro“-Kamera hätte, könnte ich eine jahreszeitliche Videolandschaftsanalyse über meine Wegstrecken von Grünstadt ins Wormes Klinikum vice versa machen. Jetzt ist der Hochsommer da, die Mähdrescher sind schon gefahren, und die Getreidefelder sind abgeerntet. In Pfeddersheim gibt es auch die Pfeddersheimer Bluthohl, also die Straße nach Mörstadt. So könnte ich auch mal fahren. Vor 500 Jahren tobte hier im Juni 1525 im Bauernkrieg die Schlacht bei Pfeddersheim. Aber der Bauernkrieg ist schon längst aus dem kollektiven Gedächtnis verschwunden. In der Schlacht von Pfeddersheim sind wohl soviele Menschen zu Tode gekommen, dass das Blut der Gefallenenen die Straße nach Mörstadt mit Blut füllte, – daher kommt wohl der überlieferte Name „Pfeddersheimer Bluthohl“.

Ich könnte auch mit dem Zug fahren. Aber das wäre ein erheblich zeitintensiverer Vorgang. Umsteigen in Bahnhof Monsheim und vom Bahnhof mit dem Bus ans Klinikum. Zweimalige ambulante Termine am Tag sind nur so schwer machbar – bzw. man muss den Tag dann am Klinikum Worms verbringen. Früher gab es auch in Worms mal eine Straßenbahn, sowie es auch einmal eine direkte Bahnverbindung Grünstadt – Worms gab. Mit etwas Phantasie könnte man sich vorstellen, dass man in Worms wieder ein modernes Straßenbahnnetz kreiert und diese neue Wormser Straßenbahn auch ans Klinikum fahren lässt. Die stillgelegte Bahnstrecke nach Grünstadt könnte man auch wieder reaktivieren und einen „Tram-Train“ nach Karlsruher Modell von Grünstadt in die Wormser Innenstadt und ans Klinikum fahren lassen. Das ließe sich auch mit anderen Destinationen verwirklichen. Aber das wird natürlich nie kommen, genauso wie die „Flomersheimer Kurve“, die Direktzüge ohne Umsetzen des Zuges in Frankenthal von Grünstadt nach Ludwigshafen oder Mannheim erlauben würde, wahrscheinlich nie kommen wird[3]. Ohne Umsetzmanöver (Fahrtrichtungswechsel) in Frankenthal wären direkte Eisenbahnverbindung von Grünstadt nach Mannheim in ca. 40 Minuten durchaus machbar. Nur leider fehlt der politische Wille das auch umzusetzen !

Soweit ich irgendwann wieder meine Arbeit am KIT aufnehmen kann, werde ich wohl wieder mit dem Auto fahren müssen. Und schon vor der Diagnose der Mitterrandschen Krankheit im Winter 2024 fielen mir die Autofahrten zum KIT immer schwerer. Die Verkehrsdichte hat auf dem südwestdeutschen Strassennetz in den letzten so erheblich zugenommen.  Und dann gibt es ja noch die Zellertalbahn, deren Reaktivierung von Jahr zu Jahr verschoben wird[4]. Wenn dann, wie geplant, im Jahre 2028 die Bahnstrecke Mannheim – Saarbrücken wegen der „Generalsanierung“ fünf Monate voll gesperrt wird, könnte man die wieder reaktivierte Zellertalbahn sehr gut als Ausweichstrecke für die gesperrte Bahnstrecke Mannheim – Saarbrücken nutzen. Aber das scheint sowieso niemanden zu interessieren.

Und überhaupt haben wir nach der Hitzeperiode Ende Juni/Anfang Juli – eine Hitzeperiode, die ich im Artikel „Mittwoch, 02.07.2025: ‚Canicule‘ Grünstadt – Sausenheim 16:00 Uhr 38,1 Grad“ thematisierte – wieder einen ganz normalen, sehr niederschlagsreichen mitteleuropäischen Sommer, wie er in meiner Kindheit und Jugend durchaus normal war. Damit sind die Herausforderungen, die uns durch den Klimawandel drohen, fürs Erste für einige Zeit schlichtweg vergessen. Mehr Verkehr von der Straße auf die Bahn bzw. das Binnenschiff zu bringen, das nannte man „klimaökologische Verkehrswende“, und das wollte man vor Urzeiten, als die berühmte Ampel noch regierte, in Bewegung bringen. Übrig geblieben aus diesen Zeiten ist davon das „Deutschlandticket“ – aber das wird wahrscheinlich auch bald das Opfer von alternativlosen Spar- und Budgetzwängen werden.

Was mich in diesen letzten Juliwochen auch sehr beschäftigt hat, ist die Lage in Gaza. Die Bilder aus Gaza erinnern mich an die Bilder aus dem Biafrakrieg in meiner Kindheit. Ich habe darüber in den letzten Tagen zwei Blogbeiträge auf Französisch verfasst: „Ces images insoutenables qui me rappellent les souvenirs des enfants du Biafra“ und „Blognotice 30.07.2025: et encore les souvenirs du Biafra se mêlent aux images de la famine à Gaza“. Ich hatte mir erst überlegt, das auch noch ins Deutsche oder ins Englische zu übersetzen, aber inzwischen denke ich, dass DeepL – oder auch Le Chat AI von Mistral – so gute Übersetzungen liefert, dass ich mir das auch sparen kann. Diejenigen die sich für den Inhalt der Artikel interessieren und deren Französischkenntnisse nicht für die Lektüre dieser Artikel ausreicht die werden dann einfach diese KI unterstützten Übersetzungstool nüzten.

Heute veröffentlichte der ehemalige französische Premierminister Dominique de Villepin in der Tageszeitung Le Monde einen aufrüttelnden Aufruf: „Dominique de Villepin: ‚Nous avons le devoir moral absolu de nous opposer à cette folie meurtrière à Gaza‘“[5]. Man wünschte sich, dass dessen Appell auch in Deutschland gelesen und wahrgenommen wird. Als Abonnent der Wochenzeitung Die Zeit würde ich mir wünschen, dass „Die Zeit“ den Text von Dominique de Villepin übersetzt und publiziert.

Abschließend noch: Aus dem Zimmer in Grünstadt, in dem ich gerade meinen Blogbeitrag schreibe, kann man nicht nur „Vögel“ über dem Stadthimmel von Grünstadt beobachten, sondern, wenn man ein Fernglas benutzt, auch ganz deutlich den Wormser Dom sehen.

Bibliographie:

Engeler, Alfred (2025): Mauer – und Alpensegler. Flugakrobaten ohne Grenzen. Bern, © 2025, Haupt Verlag Bern, ISBN 978-3-258-08410-7

Christophe Neff, Grünstadt, 31.07.2025


[1] Über die Mauersegler und andere Segler wie z.b. Fahlsegler berichtet ich auch im Paysagesblog schon mehrfach wie z.B. in „Blognotice 18.08.2024: de retour à Grünstadt“ und „Blognotice 20.10.2024 : Port Leucate octobre 2024

[2] Siehe auch „Cahiers de maladie (Cancer de la prostate) »

[3] Siehe hierzu „Freitag 10 November 2023: Klimakleber vor dem KIT“.

[4] Zur Zellertalbahn in diesem Blog siehe auch „ Blognotice 17.03.2017: Il y avait une fois un train direct Worms – Paris via la Zellertalbahn“.

[5] Dominique de Villepin : « Nous avons le devoir moral absolu de nous opposer à cette folie meurtrière à Gaza »  – « Pour l’ancien premier ministre, se taire face à l’horreur de la situation dans l’enclave palestinienne n’est plus possible, le silence serait une forme de complicité. Chacun a le devoir d’agir et de nommer le crime en cours, affirme-t-il dans une tribune au « Monde ». Le Monde, 31.07.2025. Auch auf Englisch verfügbar « Dominique de Villepin: ‚We have an absolute moral duty to oppose this murderous madness in Gaza‚”

Mittwoch 02.07.2025: „Canicule“ Grünstadt – Sausenheim 16:00 Uhr 38.1 Grad

Screenshot der Wetterstation Grünstadt – Sausenheim vom 02.07.2025

Solche Temperaturen wie sie am Mittwoch 02.07.2025 in der Agrarmeteorologische Station Grünstadt Sausenheim gemessen wurden, um 16:00 Uhr 38.1 Grad  habe ich in Mitteleuropa nur selten erlebt. Wobei in der von der Agrarmeteorologie Rheinland-Pfalz betrieben Wetterstation schon höhere Temperaturen gemessen wurden. Auch wenn ich das Gefühl hatte, dass ich hier in Grünstadt noch nie so hohe Temperaturen erlebt hatte und wir wohnen schon seit Frühsommer 1999 in Grünstadt. Am 26.08.2016 wurden hier in Grünstadt-Sausenheim 40,6 Grad gemessen. In beiliegender Tabelle habe ich die Temperaturmaxima der letzten zehn Jahre der besagten Wetterstation sowie die Anzahl der Hitzetage, also der Tage über 30 Grad eingetragen.

JahrTemperaturDatumHT
2025[1]38,102.07.202511
202434,913.08.202418
202335,409.07.202318
202237,304.08.202230
202124,718.06.20217
202035,509.08.202017
201938,425.07.201925
201835,431.07.201827
201734,719.07.201716
201640,626.08.201621
20153907.08.201529

T.1 Jahrestemperaturhöchstwerte und Anzahl der Hitzetage der Klimastation „Grünstadt-Sausemheim“ (Agrarmeteorologie Rheinland-Pfalz )zwischen 2015 und 5 Juli 2025.

Ich bin zwar kein Klimatologe, aber man wird schon sagen können, dass Grünstadt und die Unterhaardt, wohl durchaus zu den Regionen in Deutschland gehört, in denen überaus hohe Sommertemperaturen erreicht werden, Temperaturen die durchaus denen im Mittelmeerraum ähneln. Weshalb ich diese vergangen Hitzeperiode Ende Juni/Anfang Juli als so belastend empfunden habe, weiß ich nicht so genau. Vielleicht liegt es am Alter, vielleicht auch an den mit der „Maladie de Mitterrand“ einhergehenden Komplikationen[2]. Solche Hitzeperioden kannte ich natürlich schon aus dem mediterranen Südfrankreich oder auch aus meinen „années Tunisiennes“ also meiner beruflicher Tätigkeit in Tunesien[3]. Rückblickend muss ich sagen, dass abgesehen davon, dass ich diese Hitzeperioden erheblich besser wegsteckte, bzw. ich früher dieses „trockene“ Hitze sogar richtig mochte, – das lag bestimmt auch daran, dass ich wesentlich jünger war. Aber das alltägliche Leben war dort in Südfrankreich rund um Nîmes auch der Hitze angepasst, die Wohngebäude auch ohne Klimaanlagen im Sommer kühl.  Das Landleben im Hochsommer rund um das kleine Dorf Aubord in der Ebene der Vistrenque südwestlich von Nîmes in der meine Großeltern lebten, spielte sich in den frühen Morgenstunden ab[4]. Die  Feldarbeit begann mit dem Sonnenaufgang und dauert bis in die Mittagsstunden danach war erst mal „Sieste“ – die Mittagsruhe. Danach wachte das Leben erst in den wieder Abendstunden auf. Selbst in der Großstadt „Nîmes“ waren im Hochsommer die Straßen und Plätze in den 1970er und auch in den 1980er Jahren fast menschenleer. Doch die Landarbeit in Südfrankreich rund um Nîmes hat sich auch gewandelt, wie unlängst eine Reportage von „  Agathe Beaudouin“ im Le Monde „Dans le Gard, les ouvriers agricoles face à la canicule : « Plus il fait chaud, plus il faut ramasser les fruits[5] » zeigte, – nur an besonders heißen Tagen wird nur bis 14 Uhr 30 gearbeitet. Und der Großteil der Erntearbeiter kommt aus dem Ausland, hauptsächlich aus Ecuador und Kolumbien. Weiterhin besaßen meine Großeltern ja auch eine Ferienwohnung in der von Georges Candilis in den 1960er Jahren entworfenen Ferienanlage Port Leucate. Sie hatten sich diese Ferienwohnung als sie in Eckbolsheim wohnten als „Sommerfrische“ in den 1960er Jahren gekauft um der Sommerschwüle im Großraum Strasbourg zu entkommen[6]. Und tatsächlich war die Griffouliere[7] so verschattet gebaut, dass es auch im Hochsommer immer angenehm kühl war. Und soweit es Port Leucate betrifft, waren die Tageshöchsttemperaturen bei der diesjährigen „Canicule“ an der Klimastation von Meteo France[8] auf dem Cap Leucate doch erheblich geringer als die in Wetterstation Grünstadt Sausenheim gemessenen Temperaturwerte.

Der Klimawandel wird uns hier auch hier in Mitteleuropa vor gewaltige Herausforderungen stellen. Vor der Gefahr zunehmender Waldbrände durch den Klimawandel warne ich ja schon seit Jahrzehnten. Aber was mir selbst bis vor einigen Jahren nicht so richtig klar war ist, dass unsere Gebäude, Schulen, Altenheim, Krankenhäuser nicht für solche hohen Temperaturen ausgelegt sind. So frage ich mich, ob man bei der Modernisierung des Kreiskrankenhaus Grünstadt an den Klimawandel, den Anstieg der Temperaturen im Sommer, den Hitzeschutz mitbedacht hat [9] ? Die durch den Klimawandel häufiger werdenden Hitzewellen werden die Frage des Hitzeschutzes und auch der Notwendigkeit von Klimanlagen in Krankenhäusern, Altenheimen und Schulen neu diskutiert werden müssen. Canicule ist übrigens das französische Wort für Hitzewelle. In Frankreich werden die Hitzewellen seit 1947 inventarisiert, – die Hitzewelle die Grünstadt die 38.1 Grad bescherte war übrigens die fünfzigste  seit 1947 in Frankreich[10].  Soweit ich informiert bin fehlt so eine Statistik für Deutschland.

Aus der französischen Statistik lässt sich entnehmen, dass die Frequenz, die Dauer und die Intensität der „Canicule“ immer mehr zunimmt[11]. Ich gehe mal davon aus, dass das in Deutschland ähnlich sein wird, auch wenn ich dazu so nichts finden konnte, außer der kleinen DWD-Notiz „Markante Hitzewellen seit 1950“ aus dem Jahr 2017. Sehr informativ fand ich in diesem Zusammenhang den Aufsatz von Claudia Winklmayr et al „Heat in Germany: Health risks and preventive measure[12] aus dem Jahr 2023.

Die Herausforderungen, die der Klimawandel für Mitteleuropas mit sich bringt gehen weit über den Hochwasserschutz oder die Erhöhung „Waldbrandrisiken“ mit denen ich mich auch beruflich befasst habe  hinaus[13],[14]. Im letzten Jahr betreute ich beispielsweise eine Abschlussarbeit über die Einsatzmöglichkeiten von amphibischen Löschflugzeugen zur Waldbrandbekämpfung in Baden-Württemberg[15]. Mir scheint, dass vor allem die Risiken für Daseinsvorsorge und Gesundheit in Deutschland noch nicht richtig zur Kenntnis genommen werden. Und überhaupt scheinen die Risiken, die der Klimawandel für Deutschlands Zukunft bergen bei der aktuellen Bundesregierung kaum präsent zu sein, – sie werden förmlich in den Hintergrund gedrängt. Das ist wirklich besorgniserregend! Wie ich es schon im Beitrag „Klimakleber vor dem KIT“ im November 2023 schrieb – dass ich jemals mit der Bahn ans KIT pendeln werde – erschien schon damals utopisch – jetzt mit der neuen Bundesregierung wird es quasi unmöglich gemacht. Eine klimagerechte Verkehrs- & Energiepolitik scheint mit dieser Bundesregierung in weite Ferne gerückt[16]. Das Wort „Klimaresilienz“ scheint für die aktuelle Bundesregierung ein unbekanntes Fremdwort zu sein[17]. Man wird sich an Hitzeperioden, Waldbrandgeruch in der Luft, Hochwasserszenarien gewöhnen müssen. Und letztlich wird man auch nicht darum herum kommen Klimaanalagen in Krankenhäuser[18], Schulen und Altenheimen einzubauen. Und zwar unabhängig davon wer gerade den Kanzler stellt,  welche Parteien die Bundesregierung stellen.

Christophe Neff, Grünstadt im  Juli 2025

P.S. 06.07.2025 20:15 : Auch wenn ich die Radiosendung „Wie wirkt sich der Klimawandel auf unsere Gesundheit aus? – Extremes Wetter, wie beispielsweise eine Hitzewelle, wirkt sich auf die Gesundheit des Menschen aus. Alina Herrmann untersucht gesundheitliche Folgen und Präventionsmaßnahmen.“ auf SWR-Kultur erst nach dem Erstellen dieses Blogbeitrages gehört habe, denke ich, dass diese Radiosendung den von mir verfassten Text sehr gut ergänzt.


[1] Werte 2025 bis einschließlich Freitag, 04.07.2025.

[2] Maladie de Mitterand = in Frankreich zumindest in der „Generation Mitterrand“ gängige Bezeichnung für Prostatakrebs, siehe u.a. „Wintersonnenwende 2024“ und „Cahiers de maladie (Cancer de la prostate)“.

[3] Siehe u.a « Impressions du « Deuxième Symposium International de l’AGT : « Territoires, Changements globaux et Développement Durable», 12-17 novembre 2018, Hammamet –Tunisie » » und « Les belles de Tunis sont en deuil » sowie « Villa Jasmin – quelques pensées personnelles en vagabondant sur le téléfilm de Férid Boughedir ».

[4] Die Bedeutung vom Sommerreisen zu den französischen Großeltern für Menschen mit deutsch-französischem Hintergrund ist sehr schön dargestellt in Nils Minkmar’s Blogbeitrag „Die große Pause“.

[5] Siehe Agathe Beaudouin « Dans le Gard, les ouvriers agricoles face à la canicule : « Plus il fait chaud, plus il faut ramasser les fruits  – Dans le département du sud de la France, en vigilance orange ce week-end, la récolte des fruits bat son plein. Les journées commencent le plus tôt possible pour éviter la chaleur, mais le travail reste harassant. », Le Monde, 29.06.2025.

[6] Siehe u.a. „Se ressourcer – auftanken, – über versteckte Orte in der Zeit vom 14. Juli 2022 – und andere Ferne und Nahe „Aufladestationen““.

[7] Wohnviertel in Port Leucate, – mit dem Kyklos, den Clapotis einer der ersten Ferienwohnanlagen von Port Leucate.

[8] Die Messwerte der Meteo-France Klimastation „Cap Leucate“ lassen sich hier auf dem Site von Infoclimat einsehen.

[9] Siehe u.a.:  Christopher Lennart Vogel „Krankenhaus-Sanierung: Kreistag gibt grünes Licht – Das Kreiskrankenhaus Grünstadt soll umfassend modernisiert werden. Der Kreistag hat der Planung am Montag zugestimmt. Wird so die Gesundheitsversorgung im Landkreis gesichert?“. Die Rheinpfalz, 27. Mai 2025.

[10] Siehe auch « Canicule : 84 départements en vigilance orange, l’« épisode caniculaire intense » s’étend sur toute la France. Les températures pourront dépasser localement les 40 °C durant cette vague de chaleur. Son « paroxysme » est attendu en milieu de semaine, avec « des minimales très élevées, comprises entre 20 °C et 24 °C », dit Météo-France. », Le Monde, 30.6.2025.

[11] Siehe u.a. « Changement climatique : quel impact sur les vagues de chaleur ? », Meteofrance 15.06.2025

[12] Winkelmayer, C. et al. (2023): Heat in Germany: Health risks and preventive measures. Journal of Health Monitoring · 2023 8(S4), DOI 10.25646/11651 , Robert Koch Institute, Berlin

[13] Hieranbei die ersten Blogartikel von Paysages zum Zusammenhang von Klimawandel und Zunahme von Waldbrandrisiken „Feux de forêts et lectures de paysages méditerranéens: (Écologie et biogéographie des forêts du bassin méditerranéen ; The Nature of Mediterranean Europe – an Ecological History ; Le feu dans la nature – mythes et réalité)”, « 1949 – l‘incendie meurtrier dans la Forêt des Landes », « The Fatal Forest Fire – remembering the “1949 Mega fire” in the „Forêt des Landes” (South West France) ».

[14] So setzte ich mich schon seit „Jahrzehnten“ für den Einsatz von amphibischen Löschflugzeugen zur Waldbrandbekämpfung in Deutschland ein. Siehe u.a. „Neff, C. (2010): Waldbrände in Mitteleuropa – Bestandsaufnahme und Zukunftsszenarien. Was kommt auf die Feuerwehren im Lkr. Rottweil zu? (DOI: 10.5445/IR/1000149170, KITopen) , „Sommer 2015 – zur Waldbrandgefahrenlage in der Raumschaft Schramberg (17.08.2015)“ sowie das Interview „Drohen uns Waldbrände, die Pfälzer Siedlungen verschlingen?“ vom 28.06.2022 in der Rheinpfalz.

[15] Vgl. Volk, Steffen (2024): Einsatzpotentiale von amphibischen Löschflugzeugen in Baden-Württemberg. Bachelorarbeit, Bachelor of Education, Geographie, Karlsruher Institut für Technologie (KIT), (Betreuung Dr. C. Neff & Dr. C. Mager KIT-IFGG), DOI: 10.5445/IR/1000185792 (KITopen).

[16] Hierzu auch der Spiegel Kolumnist Christian Stöcker : „Die Welt verändert sich gerade in wachsendem Tempo, und zwar in beängstigender und rettender Weise gleichzeitig. Eine Bundesregierung, die beides aktiv ignoriert und auf die Technik von vorgestern setzt, tut auch der deutschen Wirtschaft keinen Gefallen. Sie legt die Weichen für den Zug Deutschland um in Richtung Abstellgleis.“ „Energiepolitik unter Friedrich Merz Schwarz-rot regiert für eine Parallelrealität“, der Spiegel, 06.07.2025.

[17] Siehe hierzu: Petra Pinzler & Bernd Ulrich „Wie ausgestorben Die Regierung schreibt die Umwelt- und Klimapolitik ab. Sie schadet damit der Bevölkerung – und sich selbst.“ Die Zeit, Nr. 28/2025, Aktualisiert am 5. Juli 2025.

[18] Siehe hierzu auch:  Philipp Kollenbroich „Hitzeschutz Warum sind deutsche Intensivstationen nicht klimatisiert? Hitze wird häufiger und intensiver. Räume zu kühlen, könnte Leben retten. Doch die Technik wird in Deutschland geschmäht.“ Der Spiegel, 32/2024, 03.08.2024.

Le Portugal fête le centième anniversaire de Suzanne Daveau

C’est avec l’exposition « „Suzanne Daveau 100 anos: Geógrafa e… não só!“ » que le Monde académique portugais, – en premier plan la géographie portugaise et lusophone  fête le centième anniversaire de la géographe franco – portugaise Suzanne Daveau[1]. L’exposition est organisée par le géographe José Manuel Simões.

Mercredi le 2 Juillet cette exposition sera inaugurée à 15 heures à Lisbonne, dans l’espace art du Instituto de Geografia e Ordenamento do Território da Universidade de Lisboa (IGOT-ULisboa) (Institut de Géographie et de l’aménagement du territoire de l’Université de Lisbonne).  

Dans un autre temps j’aurais pris le train mythique « le Sudexpress »  pour faire le voyage à Lisbonne pour pouvoir participer à cet événement car Suzanne Daveau est pour tous les géographes  s’intéressant aux paysages portugais devenue un nom incontournable une référence. Dans ce contexte on aurait bien aimé pouvoir lire un article dans le journal de référence du Monde francophone « Le Monde » un article sur la vie si intéressante de Suzanne Daveau.

Le Sudexpress n’existe plus depuis le début de l’épidémie de COVID et je ne crois pas que la Renfe va ressusciter ce train de nuit mythique qui dans ses heures de gloire permettait de rejoindre Lisbonne depuis Paris (et vice versa) en train de nuit sans changement de train. Naturellement j’aurais pu prendre l’avion pour l’inauguration de l’exposition,  – mais les complications qu’entraine  la maladie de Mitterrand – semblent pour l’instant m’interdire ou rendre très très compliqué un voyage à Lisbonne. Je me demande si le commissaire de l’exposition José Manuel Simões ait prévue de publier un catalogue de l’exposition. Comme pour l’instant il semble assez improbable que je puisse rejoindre l’exposition qui dure jusque aux 27 septembre je relis quelques pages dans le livre «  Geografias de Suzanne Daveau » édité par Maria Fernanda Alegria en 2015. Naturellement je pense aussi un peu à son mari défunt Orlando Ribeiro – c’est avec lui que débutait la recherche scientifique géographique  du volcan sortant des vagues de l’atlantique à l’ouest de ile de Faial – le Capelinhos– en Septembre 1957. Dans un certain sens je poursuis ses recherches sur le Capelinhos[2].  Suzanne Daveau m’avait d’ailleurs donnée l’autorisation de reproduire les croquis de la « naissance et genèse » du Capelinhos d’Orlando Ribeiro de 1958 dans une de mes publications scientifiques[3]. J’écris ce ligne en demandant si un jour je pourrais revenir sur l’ile de Faial et continuer mes relèves de plantes sur le Capelinhos et les champs de Cendre de Capelo. En faite en ce moment cela me semble être encore très improbable.

Bibliographie :

Alegria, Maria Fernanda (2015)(Ed) : Geografias de Suzanne Daveau. Centro de Estudos Geograficos, Lisboa, ISBN 978-972-636-252-4

Daveau, Suzanne; Belo, Duarte (2021)(Ed.): Atlas Suzanne Daveau. Museo da Paisagem. Lisboa. ISBN 978-989-54497-4-3

Neff, Christophe (2021) : Observations de la dynamique végétale sur le Volcan des Capelinhos (Île de Faial, Açores, Portugal). Finisterra, 56(117), pp.107- 126 . doi.org/10.18055/Finis18523

Christophe Neff, Grünstadt 29.06.2025


[1] Dans Paysages on retrouve plusieurs partie de texte ou je mentionne Suzanne Daveau et son œuvre « Blognotice 06.08.2017: Souvenirs d‘un bibliophile des sables »,  « Se ressourcer – auftanken, – über versteckte Orte in der Zeit vom 14. Juli 2022 – und andere Ferne und Nahe „Aufladestationen“ », « Paysages d’été – pays de Gex, Genève et autres paysages d’été (Aout 2022) ».

[2] On retrouve un résume des mes recherches sur le Capelinhos & Capelo dans la presentation «  “Capelo mon amour” – Fajã Grande, Flores, Capelo, Faial 1999 – 2023. 24 anos de investigação ecológica e geográfica nos Açores » qui est déposé dans KITopen.

[3] Neff, Christophe (2021) : Observations de la dynamique végétale sur le Volcan des Capelinhos (Île de Faial, Açores, Portugal). Finisterra, 56(117), pp.107- 126 . doi.org/10.18055/Finis18523

Blognotice 22.06.2025: canicule et Fête de la musique & Dictionnaire amoureux de Pouchkine

Décidément la canicule transforme le « Oberrheingraben » en véritable fournaise[1]. Pour une fois, qu’on aurait pu visiter la Fête de la musique à Wissembourg ! Mais cette chaleur estivale précoce me semblait pas trop invitant pour passer l’après midi et la soirée à Wissembourg. J’aurais en plus pu chercher les livres pour ma collection de la pléiade chez Willy Hahn dans sa belle petite libraire « à livre ouvert ». J’ai donc passé cet après midi avec  la lecture – et je me suis plongé dans le « Dictionnaire amoureux de Pouchkine » de André Markowicz que j’avais découvert grâce au billet « Pouchkine, c’est la Russie » de Pierre Assouline dans la République des livres. C’est le premier dictionnaire amoureux que je lis en version epub, – mais le manque de place dans ma bibliothèque m’oblige de plus en plus d’acheter et de lire de livres électroniques[2] ! Je me plonge donc dans le Monde de Pouchkine, pense au Monde de Eugène Onéguine, je me souviens de l’opéra de Piotr Ilitch Tchaïkovski, la version allemande  Acte II, Scène 2: Aria. „Wohin, wohin seid ihr entschwunden“ de l‘aria de Lenski interprete par Fritz Wunderlich. Je croise le monde des décabristes, les tableaux de Ivan Aïvazovski, la mer… partir vers la mer en villégiature pour échapper à cette chaleur lourde du « Oberrheingraben », ou vers les hauteurs en Forêt Noire ou dans le Vosges avec quelques livres à bord. On peut toujours rêver ….. mais je n’ai toujours pas dépassé la lettre A.

Mais la réalité ne se laisse guerre tromper,- je pense avec tristesse à la poète iranienne Parnia Abbassi morte sous les bombes de la première attaque israélienne  sur Téhéran[3]. Les victimes de la guerre ce sont toujours les innocents. Il y une petit notice dans la wikipedia.nl sur la vie et l’œuvre bien trop courte de Parnia Abbassi[4].  Je continue mes lectures du Samedi, Pouchkine d’une part et la Mage du Kremlin d’une autre part. Il m’arrive assez souvent de lire plusieurs livres à la fois. Et surtout je ne change pas le sort d’événements géopolitiques. Mais je pense souvent aux habitants des villes iraniennes. Ils sont les victimes d’un régime sanguinaire, – et maintenant en plus ils doivent subir les bombardements aériennes sans aucune protection contre les attaques aériennes…

Je reviens à mes lectures du Samedi, – je pense et j’espère qu’un jour le Nationaltheater Mannheim, va reprendre les Opéras russes ……j’aimerais bien un jour assister à Eugène Onéguine.

Je pense aussi que la traduction française d’Eugène Onéguine par André Markowicz n’existe pas en version epub. C’est dommage, j’aurais bien aimeé de la lire. Et dans ma collection « la Pléiade » il me manque les L’œuvres de Michel Lermontov et d’Alexandre Pouchkine.  Et il me semble bien que dans ce volume de la Pléiade (Bibliothèque de la Pléiade, n° 245)  il manque Eugène Onéguine.  Je n’ai pas encore fini la lettre A, mais j’ai sauté quelques pages pour lire le chapitre sur Eugène Onéguine dans le « « Dictionnaire amoureux de Pouchkine » de André Markowicz, – et je pense que déjà ce chapitre est une invitation a se procurer ce livre.  Au moins pour les amis de la littérature russe !  

Bibiliographie :

Da Empoli, Giuliano (2022) : Le mage du Kremlin. Roman. Paris, 2022, Éditions Gallimard, 21 mars 2022, ISBN 978-2-07295819-9

Markowicz, André (2025) : Dictionnaire amoureux de Pouchkine. Dessins d‘ Alain Bouldouyre d’apres Alexandre Pouchkine. Paris, 2025 , © Éditions Plon, un département de Place des Éditeurs, 2025, ISBN 978-2-259-31829-7

 Christophe Neff, Grünstadt écrit le 22.06.2025, publié le 23.06.2025


[1] Voir aussi « Avec la canicule, l’été débute et la France suffoque déjà : « Impossible de dormir avant 3 heures du matin » LeMonde, 21.06.2025

[2] Voir aussi  « Une liseuse „Tolino“ pour délester ma bibliothèque ».

[3] Voir „Bei Luftangriff auf Teheran getötet PEN Deutschland trauert um junge iranische Lyrikerin

Beim israelischen Luftangriff auf einen Gebäudekomplex in Teheran wurden Parnia Abbasi und ihre Familie getötet. Die junge Frau schrieb Gedichte, eines wurde in einer Literaturzeitschrift veröffentlicht. Der Spiegel, 18.06.2025.

[4] Voir „Parnia Abbasi“, wikipedia.nl